1. Le cunnilingueur


    Datte: 19/07/2019, Catégories: Mature, Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    À chacun ses talents : je ne suis pas doué pour les langues, mais pour LA langue. Car d'aussi longtemps que je me souvienne, j'ai toujours été passionné par le cunnilinctus. Pourtant, mon adolescence a été difficile : il n'a pas été simple de trouver une fille qui accepte de m'ouvrir ses cuisses à ma passion brûlante pour ce qu'il s'y trouve au milieu.
    
    Puis l'horizon s'est dégagé : Rose, puis Karine, deux ravissantes lycéennes, ont enfin tombé la culotte et permis à mon muscle buccal d'accéder à leur saint des saints génital, afin de m'y exercer. Salée et molle comme une huitre, la chatte excitée mérite la pleine adoration de son servant, et ce, sans aucune réserve. Il faut savoir tout lui sacrifier.
    
    Christine était une femme exquise, brune, maman quadragénaire de deux jeunes enfants ; je l'ai rencontrée dans le bus lorsque j'avais vingt ans. Elle avait envie d'une aventure extra-conjugale avec un garçon extrêmement attiré par ses grâces féminines, comme je l'étais - et le suis toujours. J'étais, de mon côté, en recherche d'une personne mûre qui sache m'enseigner les trésors de son corps afin de me permettre de progresser.
    
    Assis l'un en face de l'autre, nous étions donc faits pour nous rencontrer sur la ligne 20 du réseau toulousain des transports. J'ai pu constater qu'elle n'était pas farouche. Je lui ai souri, elle m'a souri, avant de constater la bosse qui décorait l'entrejambe de mon pantalon, renflement qu'elle a parcouru de la pointe de ses orteils après ...
    ... avoir retiré une chaussure, tout en me regardant droit dans les yeux, d’un air de défi. Puis je lui ai proposé de goûter à sa petite chatte que je devinais exquise, et elle dit : « oui, je veux bien, mais seulement cela ». J’ai opiné d’un signe de la tête.
    
    Nous sommes descendus ensemble, et j'ai séché un cours. En chemin, elle a refusé de tenir ma main, de crainte que nous soyons vus. Par contre, elle m'a avoué que sa culotte était trempée et que c'était inconfortable. Comme elle ne pouvait pas tromper son mari chez elle, nous sommes allés chez moi, c'est à dire chez ma mère qui m'a fait les gros yeux devant mon invitée qui avait pratiquement le même âge qu’elle.
    
    Je peux vous confirmer que le meilleur de l'amour est dans l'escalier. J'ai bandé si fort que c'en était douloureux.
    
    Dans ma chambre, elle s'est rapidement déshabillée, mais seulement le bas. Elle était pressée, car elle avait rendez-vous chez le dentiste, et m'a demandé de me dépêcher. Son sexe, vierge de tout rasage ou épilation, était garni d'un buisson noir très touffu qui s’étendait jusqu'à l'intérieur des cuisses. Cela me plaisait : j'ai toujours aimé les poils en liberté et apprécié les forêts pubiennes aussi sauvages qu'odorantes. À demi allongée sur mon lit, appuyée sur ses avant-bras, elle a allumé une cigarette et m’a regardé m’occuper librement de sa merveilleuse foufounette, sans dire un seul mot.
    
    Sans hésiter ni procéder à d’autres préliminaires, j'y ai glissé ma bouche. Elle sentait très fort, ...
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