La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1624)
Datte: 24/09/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... longtemps. J’haletais, remuait autant qu’il m’était possible de le faire, tendant mes muscles et mon bassin et criais :
- Stop… s’il vous plait stop, je vais gicler !
Mais malgré ma supplique, ma requête, la machine continuait à me sucer, m’aspirer, me lécher, quelques allers-retours plus rapides encore. Puis la machine s’arrêtait juste avant le point de non-retour… Je soufflais, tremblais, ma respiration était chaotique, les battements de mon cœur étaient frénétiques et mon corps entier n’était plus qu’un simple pantin désarticuler. Les deux vicieux Dominants me regardaient fixement puis réactivaient la machine. Je ressentais une forte chaleur irradier et se propager dans tout le bas-ventre, j’avais la sensation d’avoir des milliers de papillons dans le ventre qui dansaient de joie. La machine s’emballait de nouveau, aspirait ma nouille, la comprimait, la compressait, la desserrait, la libérait pour mieux encore l’avaler, la convoiter, puis la cadence redevenait plus normale, moins rapide, me permettant ainsi de souffler largement. Ainsi, pendant un temps certain, je subissais les assauts de ce matériel invincible, une véritable agression, une offensive dévastatrice, des décharges foudroyantes. Seules les mains de Markus étranglant mes burnes me permettaient de tenir bon pour ne pas éjaculer.
- Tu vois comme tu es minable, la sale pute… Ton corps et ...
... ton mental totalement accaparés par cette chose pendante entre tes cuisses, que la nature n’aurait pas dû te doter ! Tu vois comme tu es chienne… Une véritable salope assoiffée de sexe…, me disait Rémy en me torturant maintenant les tétons.
- Nous allons compliquer un peu plus les choses, la putain… Tu vas voir !, reprenait Markus
Markus, justement, nous quittait un instant, pour revenir peu après, tenant en ses mains un gode métallique pas très long mais assez large. La base de celui-ci était reliée à deux fils électriques.
- Hummm… je sens que tu vas apprécier, la catin…. Je vais te mettre le feu au cul, tu vas bien sentir les électrodes avec cet engin… me disait Markus, en passant sa langue sur ses lèvres, comme s’il se régalait d’avance.
Impossible de décrire ce que je percevais, c’était à la fois délicieux et exécrable, merveilleux et horrible, diabolique et divin, sublime et effroyable… A chaque choc électrique, le gode s’enfonçait profondément dans mes entrailles au plus profond dans mon cul, générant des ondes monumentales et insupportables alors que la trayeuse me procurait des sensations prodigieuses et étourdissantes… J’étais perdu, anéanti, déboussolé, irrécupérable, incurable… Je le savais désormais, j'avais juste besoin de tout ça pour être moi, pour être cette putain, pour être cette salope que j’aspirai à devenir ! …
(A suivre…)