La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1624)
Datte: 24/09/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1624) -
Chapitre 40 bis : Markus et ses acolytes -
J’étais sur le point de m’évanouir, parcouru d’endorphines nageant en plein bonheur, alors qu’Adrien remplissait mon cul de son foutre en geignant fortement de cris rauques comme un cerf en rut... Adrien se rhabillait, repartait aussitôt… sans rien dire, sans la moindre considération, sans le moindre affect. Il était venu simplement se soulager les burnes, se vider les couilles, oui, c’est ça je n’avais été rien d’autre qu’un simple vide-couilles, point à la ligne, pas d’autre commentaire à faire. D’ailleurs, je n’avais pas le temps de réfléchir plus longuement, les doigts de Rémy harponnaient ma chevelure, m’obligeant à me redresser, à me mettre à genoux, dans un équilibre précaire. Toujours maintenu fermement, Rémy se retournait, me présentait ses fesses. De sa main libre, il écartait l’un de ses lobes fessiers, et plantait mon visage dans sa raie touffue et humide.
- Tu n’es qu’une salope… Lèche-moi le cul et applique-toi !
Impuissant et vulnérable, je fermais les yeux pour encaisser cette nouvelle ignominie… Jusqu’où ces deux pervers voulaient-ils me conduire ? Ils détruisaient mon corps et mon esprit, ils effaçaient ma personnalité pour la remplacer par une autre, plus lamentable, plus soumise, un cœur animé par le seul désir de souffrir, d’être baisé et humilié, alors que de ma langue baladeuse, ...
... je m’appliquais à l’insinuer entre les parois de son anus, essayant de lui procurer le plus de plaisir, salivant ma langue, j’en imbibais ce cul écarté, j’étais devenu, non seulement un vide-couilles, mais aussi un lèche-cul, un véritable lèche-cul, dans le vrai sens du terme… Et à ma grande honte, ma nouille pointait de nouveau vers le ciel, tendue entre mes jambes, quand bien même elle avait déjà joui, il y avait peu. Les larmes coulaient le long de mes joues. Je me sentais complètement dévasté. Les deux pervers me regardaient en souriant, affichants des airs goguenards face à mon émotion et/ou humiliation. Markus, saisissait ma nouille et une nouvelle fois réitérait ses propos :
- Tu ne peux te mentir, regarde ta nouille, elle, connait ta Nature profonde, elle connait la vérité de ton état servile.
Markus donnait une pichenette sur mon gland décalotté, je sursautais sous la douleur subite. Peu après, il ôtait le bâillon enrubanné de ma bouche. Alors, sans que je puisse me contrôler, presque par instinct, je me penchais en avant et renouvelais mon engagement et mon désir profond, viscéral et intense de n’être qu’une salope asservie. Les yeux clos, je passais ma langue sur son pied droit, léchant encore et encore, du mieux que je le pouvais, léchant comme un bon chien docile et reconnaissant. J’en remuais même le cul sans m’en rendre compte par des petits coups de hanches ostentatoires, quasi instinctivement, comme un appel à la bite, comme si mon cul parlait pour moi ...