1. Les Bains


    Datte: 17/09/2024, Catégories: Transexuels Auteur: byFtmpron, Source: Literotica

    ... lentement, puis plus rapidement, pour finir par me mordiller les mamelons.
    
    Je savourai d'être ainsi plein de lui, de le sentir étroitement emboité dans mon corps, son sexe allant et venant, m'emplissant le ventre. Je l'obligeai à ressortir complètement et m'empalait à nouveau sur lui, de plus en plus rapidement. Nous ne nous parlions plus à présent, et nous n'étions plus que deux corps qui s'agitaient frénétiquement, esclaves de notre plaisir. Astère vit que mon sexe était dur et gonflé et se mis à le caresser, tandis que j'enserrai le sien en moi, et que nos cris rauque se faisaient de plus en plus pressants. Je me sentais tout proche d'être emporté par une puissante vague de plaisir...
    
    Je décidai toutefois de faire durer le jeu ; je me retirai brusquement, laissant Astère la bouche ouverte, le souffle court, et les yeux écarquillés d'incompréhension.
    
    Je me levai, et sentit aussitôt l'humidité de mon entrejambe dégouliner le long de mes cuisses. Je fouillai parmi nos affaires jetées pèles-mêles au sol et je trouvant mon poignard, muni de son fourreau. Lorsque je me retournai, Astère se redressa, surpris. « Que comptes-tu faire?
    
    -Ne t'en fais pas, je ne vais pas t'attaquer, plaisantai-je, même si je réalisai l'incongruité de mes actions. Je saisi le petit flacon d'huile des bains que j'avais repris avec moi et en appliquai sur la garde du poignard.
    
    Astère se recoucha lentement, en m'observant faire. Lorsque je m'assis près de lui, il écarta légèrement les ...
    ... jambes, comme s'il savait à quoi s'attendre. « Je n'ai peut-être pas la chair nécessaire pour te prendre, mais...J'ai toujours une arme sur moi.
    
    Je lui présentai la garde de mon poignard ; elle était d'un bois poli, arrondit, parfaitement lisse. Il se mordilla les lèvres et m'observa la baisser lentement et ses yeux suivirent la garde qui vint doucement pousser entre ses jambes. Il ferma alors les yeux et s'étendit à nouveau, les jambes écartées.
    
    « Mmh... » il ne me fallut pas très longtemps avant de pousser l'entièreté du manche en lui. « Aaah, oui...oui, Thémis ! » il écarta ses fesses davantage et j'en fut terriblement excité ; il était rare que des hommes s'offrent si ouvertement à moi, et le fait même qu'il s'agisse de lui enflammaient encore plus mes sens. Il me vint une idée.
    
    Je tirai sur le poignard et privai momentanément mon amant de son plaisir. Voyant que je ne le pénétrai plus, il me jeta un coup d'œil par-dessus son épaule et fit volte-face pour venir s'asseoir à mes côtés. « Que fais-tu? cette fois la frustration perçait très clairement dans sa voix.
    
    Je nouai fermement le fourreau à la garde, à l'aide des cordelettes de cuir qui l'entouraient. J'éprouvai la solidité de mon stratagème ; l'arme était impossible à dégainer.
    
    « Couches-toi, ordonnai-je à Astère et il s'exécuta, le regard brillant. Il releva les jambes mais fut surpris quand je vins coller mon bassin au sien. J'entremêlai mes jambes avec les sienne, de sorte que ma cuisse gauche était sous ...