1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (2).


    Datte: 14/09/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... serveur, s’adressant à son patron, fit un commentaire désobligeant :
    
    • Questo gigolò scoperà questa puttana davanti al cornuto francese! Che troia! (“Ce gigolo va baiser cette putain devant le cocu de Français! Quelle salope!”)
    
    Luigi devint pale devant l’injure. En me levant, je l’ai à nouveau longuement embrassé, puis je me suis dirigée vers le serveur indélicat :
    
    • Sei geloso? Sì, a mio marito piace che mi faccia scopare davanti a lui! Sono orgogliosa di essere una troia, come dici tu! (“Tu es jaloux? Oui, mon mari aime que je me fasse baiser devant lui! Je suis fière d'être une salope, comme tu dis!).
    
    J’étais surtout fière d’avoir remis à sa place ce malotru. Nous avons regagné l’hôtel, distant de quelques centaines de mètres. Je tenais par une main mon mari et, de l’autre, celui qui n’était pas encore mon amant. Nous nous arrêtions fréquemment, Luigi et moi, pour nous embrasser. A ce moment là, j’étais sûre de ce que je voulais : baiser avec ce beau mâle !
    
    Nous étions dans le hall de l’hôtel. J’eus la tentation de faire monter Luigi, ayant follement envie de lui. Luigi et moi nous embrassions à pleine bouche. Il me serrait contre lui, pour mieux me faire sentir son désir, posant ses mains sur mes fesses. Nous ne soucions pas de l’endroit où nous étions, alors même que le personnel de l’hôtel sait évidemment que Philippe et sommes en couple. Quand je suis dans un tel état, que j’ai une telle envie, j’en abandonne toute retenue et toute pudeur. Rien ...
    ... d’autre ni personne n’existe à cet instant que mon désir. Luigi murmure à mon oreille :
    
    • Mi fai impazzire. Voglio te! (“Tu me rends fou. J’ai envie de toi!”)
    
    • Voglio che tu faccia l'amore con me. Io amo! (J’ai envie que tu me fasses l’amour. Je t’aime!)
    
    Luigi recule à ce moment-là, effrayé par mon aveu et ses conséquences.
    
    C’est alors que Philippe tente d’accélérer les choses :
    
    • Nous montons ? Je sais que vous en avez envie l’un et l’autre. Quant à moi, je suis impatient de vous voir ensemble.
    
    Je ne peux pas lui répondre que, oui, je veux monter avec Luigi, mais que je n’ai pas envie qu’il assiste. Ce n’est pas du candaulisme, c’est autre chose. Je comprends alors ce qui se joue et, par un échange de regards, Luigi le réalise également. Je ne peux pas et ne veux pas faire ça à Philippe. D’abord parce que je l’aime, même si je me sens poussée vers Luigi. Je me rappelle, à ce moment, de qui s’était passée il y a 6 ans quand j’étais tombée amoureuse de N.
    
    Au bord du gouffre, je ne voulus pas une nouvelle fois tout détruire. Il m’en coûta énormément, mais je fis brutalement marche arrière :
    
    • Nous avons une très longue journée demain. Donc, malgré nos envies, nous devons être sages !
    
    J’ai regagné les bras de Luigi, l’embrassant une dernière fois et lui parlant à l’oreille :
    
    • Buona notte mio caro. Perdonami, ma devo cercare di riprendere il controllo della situazione! Mi hai dato fuoco. (“Bonne nuit, mon chéri. Pardonne-moi, mais je dois essayer de ...
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