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A Genoux
Datte: 13/09/2024, Catégories: Transexuels Auteur: byElisefr, Source: Literotica
... inconnue... La position est assez inconfortable, mais pas insupportable, grâce à une couverture pliée au fond du coffre qui fait office de matelas. Le trajet semble long et me laisse le temps de penser. J'essaie d'évaluer l'heure qu'il peut être. Voyons : je suis entrée chez Vous vers 16h00 et y suis bien restée deux heures. Puis, il y a eu l'épisode chez Nadine : une bonne heure de plus. Le trajet vers le bois s'est effectivement déroulé vers 19h30 compte tenu de la circulation. Ajoutons deux heures pour mes aventures péripatéticiennes et exhibitionnistes. Il doit être environ 22H00. C'est-à-dire l'heure à laquelle j'ai l'habitude d'appeler ma femme quand je suis en déplacement. Vous avez jusqu'à présent pris grands soins que nos aventures communes n'aient pas d'impact sur ma vie professionnelle et familiale. Y aurait-il un changement d'attitude de Votre part ou Vous avez simplement oublié? Cette négligence ne Vous ressemblerait pas du tout. Alors, volonté délibérée de jouer un jeu plus risqué? J'ai toujours pensé qu'à un moment ou à un autre, j'aurais à choisir entre ma vie d'homme établi et Elise. Seriez Vous en train de m'aider à me décider? Que vais-je pouvoir raconter à ma femme? Panne de portable? Sonnerie sur le mode « silence »? Mensonges grossiers que tout cela : elle devinera qu'il se passe quelque chose... Je suis en plein dans mes réflexions angoissées quand la voiture s'arrête enfin. Le coffre s'ouvre. Quelqu'un défait mes liens - seules mes mains restent ...
... attachées dans mon dos - et saisit ma laisse. Vous? Je ne sais pas. Sous la traction, je me tortille, cherche à m'asseoir et finit par me retrouver debout, vacillante sur mes jambes. Il fait tiède : je suis à l'intérieur d'une pièce. Un garage? La traction sur la laisse reprend, je marche avec précaution ayant peur de tomber à tout moment. Pas un mot pour me rassurer ou me guider. Une porte s'ouvre. Le revêtement du sol change. Une autre porte. On m'arrête. Une main me pousse sur le côté. Je me décale légèrement jusqu'à sentir un contact sur ma hanche qui doit être une rampe. Serais-je face à un escalier? Monte-t-il ou descend-il? Nouvelle traction, très douce celle-là, m'engageant visiblement à la prudence. J'avance doucement le pied en tâtonnant le sol devant moi et sens le sol s'effacer : un escalier qui descend. Pas à pas prudemment, nous descendons une volée de marche. Nouvelle porte. Nous entrons dans une pièce assez chaude. Quelques pas et on m'arrête. On détache mes mains dans le dos pour les rattacher immédiatement devant moi, puis quelque chose les tire vers le haut, très haut. J'ai bientôt la tête entre mes deux bras et suis presque sur la pointe des pieds. Puis plus rien. Nouvelle attente. Je pense à l'heure qui tourne et à ma femme qui doit maintenant s'inquiéter de mon silence : merde ! que vais-je lui raconter? Quelqu'un s'approche, saisit mon haut et le déchire brutalement. Je sursaute ! Quelques coups de ciseaux et la jupe et les sous-vêtements subissent ...