Dans l'enfer de la bibliothèque - Histoires de Sexe

Dans l'enfer de la bibliothèque

... mais elle était excitée en permanence et elle voyait bien qu’elle serait punie si elle se touchait. Lorsque Mathilde fut sortie de la pièce, Dimitri se tourna à nouveau vers elle et admira sa position, le visage neutre, les seins fièrement tendus vers lui, les cuisses écartées qui laissaient voir une petite figue luisante et entrouverte.

— Tu es trop parfaite, ma petite chienne. Comment vais-je trouver un prétexte pour te fouetter, hein ? Viens ici, que je te caresse un peu, ajouta-t-il en se tapant la cuisse. Nous allons avoir un beau spectacle dans un moment et tu vas participer.

Odile alla se frotter contre la jambe poilue du professeur et il lui caressa doucement les cheveux jusqu’à ce que Mathilde revienne de sa chambre. La nuisette était effectivement entièrement transparente et elle était encore plus nue que nue, encore plus ronde que ce qu’Odile avait vu jusque-là. À peine fut-elle entrée dans le salon qu’on sonna à la porte.

— C’est ton invité, ma petite vache. Tu dois aller l’accueillir. Il n’est pas prévenu de nos jeux. Il sait juste que je l’ai invité et que je veux lui présenter ma femme. Pourtant, je veux que tu l’embrasses sur la bouche avant de le ramener dans cette pièce. Tu peux même lui caresser la bite si tu en as le courage. Allez, va, j’ai confiance en toi.

Odile était curieuse de l’invité-surprise, dans l’attente du spectacle annoncé. Elle se tenait sage aux pieds de son maître.

— Toi, dit-il, il faudra rester bien sage et obéir au doigt ...

... et à l’œil. Surtout, tu n’ouvres pas la bouche, quoi qu’il arrive.

Odile comprit le sens de cette recommandation quand l’invité entra dans la pièce, tenant la main de Mathilde. Mais la recommandation était inutile, car elle n’aurait pas pu parler. Ses oreilles bourdonnaient et ses yeux voyaient trouble. L’invité était Antoine, son Antoine qui ne la vit pas tout d’abord.

— Eh bien, Dim, je n’avais pas tout compris, il me semble. Tu voulais que je rencontre ta femme, mais je ne m’imaginais pas la rencontrer à ce point !

Et puis il vit Odile, nue aux pieds de son ami, et il s’interrompit, devint blanc comme un linge.« Il est beau, mon Antoine », pensa Odile, même si elle se rendait compte qu’elle venait probablement de le perdre. Son fiancé était grand, brun avec de larges épaules. Mathilde avait déjà desserré sa cravate et déboutonné à moitié sa chemise, laissant voir les poils noirs sur son torse.

— Je vais faire les présentations : Mesdames, je vous présente Antoine avec qui je joue au squash depuis des années. C’est un redoutable adversaire, endurant et plein d’ardeur. Antoine, tu as déjà fait connaissance avec Mathilde, ma femme, à qui je promets un beau gras musclé depuis des années sans savoir comment concrétiser et tu connais cette petite bibliothécaire qui est en stage chez moi pour la première fois aujourd’hui. Pas de méprise, mon vieux : je n’y touche pas, je me contente de la rendre plus intéressante. Bon, viens ici, je t’offre un verre pour te remettre. ...