1. Dans l'enfer de la bibliothèque


    Datte: 13/09/2024, Catégories: 2couples, hplusag, extraoffre, danser, fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme sm, fouetfesse, dominatio, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... aux lèvres épaisses et déjà bien luisantes. Odile se demanda si c’était l’annonce des coups de canne qui l’avait fait mouiller. En vivant avec Dimitri, elle avait sûrement l’habitude d’en recevoir, et peut-être qu’elle aimait ça, puisqu’elle remettait à chaque fois son collier rouge. La jeune esclave sortit la langue et commença à lécher la fente offerte de Mathilde. Elle pensa qu’elle n’avait jamais goûté à sa propre mouille et que ce n’était pas si mauvais. Sans les mains, elle ne parvenait pas à éviter d’enfouir son visage dans le gluant et son nez et ses joues furent bientôt barbouillées de jus, mais elle faisait son travail avec application. Elle léchait avec constance, elle titillait le clitoris proéminent et dur. Pendant ce temps, son maître observait la scène, pinçait les tétons de sa femme, avant de se mettre à caresser les fesses d’Odile, pas vraiment comme un amant, mais plutôt comme on flatte un petit chien.
    
    Mathilde, bien qu’elle n’ait pas voulu ce qui arrivait, était en train de jouir. Elle avait les yeux fermés et gémissait. Son sexe était de plus en plus mouillé et Odile continuait avec opiniâtreté, essayant même d’accélérer la cadence. Par moments, pour se reposer la langue, elle suçait le bourgeon de la dame et c’est là que celle-ci gémissait le plus. Mais son mari ne semblait pas vouloir qu’elle ait un orgasme.
    
    — Bon, ça suffit, ma vachette, dit-il en lui pinçant violemment le téton. Serre les cuisses pour que la salope s’arrête. Allez, plus ...
    ... fort.
    
    L’étau qui se resserra sur Odile était puissant et elle comprit que cette femme pourrait facilement l’étouffer ainsi. Elle ne respirait plus et la chair des cuisses lui écrasait les oreilles et les joues. Pourtant, elle se sentait bien, à l’abri en quelque sorte, enfouie ainsi contre une femme qu’elle ne connaissait pas la veille. Puis l’étau se desserra et les deux femmes attendirent que le maître annonce la suite. Il regarda d’abord sa montre puis annonça qu’il était temps de manger.
    
    — C’est ensuite que le programme devient intéressant. Nous avons un invité qui va arriver bientôt.
    
    L’espace d’un instant, les regards des deux femmes se croisèrent et Odile comprit que Mathilde était aussi surprise qu’elle.
    
    — Sers-nous, Mathilde. Mon petit chien mangera sur mes genoux et toi à la cuisine.
    
    Il alla s’asseoir à table et tapa sur sa cuisse pour appeler Odile. Elle le rejoignit à quatre pattes et il la tira sous les aisselles pour qu’elle puisse grimper sur ses genoux. Une fois assise, elle sentit enfin la queue dure de son maître contre ses fesses.
    
    Mathilde revint avec un plateau garni d’assiettes et de coupelles. Il y avait du saumon fumé, du tarama, des crevettes, de la mayonnaise et du pain. La femme du professeur avait mis un petit tablier blanc en dentelles devant son sexe et Odile pensa qu’elle était très désirable en serveuse cochonne.
    
    — Ah, voilà de quoi nous amuser ! dit Dimitri. « Femme », nous voulons aussi du vin !
    
    Mathilde repartit vers la cuisine ...
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