1. Un petit coup de folie


    Datte: 09/09/2024, Catégories: fhh, couplus, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, dominatio, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... caresser à sa façon la cuvette ourlée de ma femme qui remue doucement du popotin autour de cet intrus. Qu’espère-t-elle ? Que cherche-t-elle ? D’autant que je constate que le gland de notre invité s’appuie de plus en plus, évasant ainsi l’entrée obscure. Ce qui n’empêche toujours pas ma garce d’épouse de continuer son indécent manège.
    
    Ambre a-t-elle vraiment envie d’être enculée par un autre homme que moi ? À moins que ce soit de la provoc ? Mais vu le contexte, c’est une provoc dangereuse…
    
    — Aaah !
    
    Arnault pousse un long soupir, puis remballe son attirail après un furtif essuyage. Il tient donc parole. Puis il met une claque sur la fesse rebondie la plus proche :
    
    — Chaque chose en son temps, petite salope !
    
    A-t-il dit ça à cause de l’attitude consentante de ma femme ? Ou pour une autre raison ? En tout cas, je suis secrètement soulagé, et en même temps déçu. Ne me demandez pas pourquoi, je suis incapable de répondre.
    
    Je regarde furtivement l’anus de ma femme, je crois distinguer un peu de liquide brillant, qui ne ressemble pas vraiment à de la salive. Je n’ai pas trop le temps d’y réfléchir, Arnault dit à haute et intelligible voix :
    
    — Et si on revenait à nos classiques ?
    
    Puis notre invité reprend sa cravache pour zébrer à nouveau le cul rebondi et rougi. Je vois bien qu’il fait attention, qu’il ne frappe pas trop fort, que ce sont plus des caresses qu’autre chose, même si les coups claquent de façon sonore sur la peau. Moi aussi, j’entre à nouveau ...
    ... dans le jeu.
    
    Après quelques longues agaceries souvent retentissantes, nous détachons partiellement notre soumise pour la retourner sur le dos, en répartissant au mieux les deux coussins pour qu’elle soit à l’aise. Au passage, nous en profitons pour lui enlever le peu de vêtements qu’elle a encore sur elle, lui laissant uniquement ses bas autofixants. On ne peut pas dire qu’Ambre se débatte beaucoup ! Tout au plus dit-elle de façon étouffée, pour cause de bâillon :
    
    — An’ ’eu chalo !!(que je traduis par : bande de salauds !)
    
    Puis nous la lions à nouveau, cuisses largement ouvertes, bien sûr. Malgré le bâillon, elle proteste à sa façon avec une conviction que je trouve éteinte et feinte, mais à présent muette. Ce qui ne change rien à notre détermination de continuer notre petit jeu de tortures. Durant ce temps, elle se tortille dans tous les sens. Parfois, je dois revérifier les liens.
    
    Allongée sur le dos, Ambre expose sans protection ses mignons seins aux tétons déjà bien dressés. Bien entendu, notre invité s’en occupe comme il se doit, en les caressant, les palpant, les léchant et les mordillant parfois. Il soupire :
    
    — Aaah que j’adore ces nichons-là, ni trop, ni pas assez !
    
    Alternativement, nous nous relayons autour de son clitoris et de ses seins, avec nos mains, nos lèvres, nos langues, et parfois nos cravaches. Sa fente odorante dégouline littéralement, luisante à souhait. Quant à ses tétons qui ornent ses seins largement pétris, ils sont devenus durs comme ...
«12...789...14»