Un petit coup de folie - Histoires de Sexe

Un petit coup de folie

... mais quel cul !

Délaissant sa cravache, Arnault est en train de malaxer copieusement les deux fesses rougies. On dirait qu’il pétrit de l’argile, ses doigts s’enfonçant dans les chairs débordantes. C’est assez surprenant, mais jubilatoire !

— Et regarde-moi ce mignon petit trou du cul ! Me lance-t-il en écartant sans vergogne les fesses de ma femme.

C’est vrai que je découvre là une mignonne cuvette ourlée qui palpite étrangement. J’en déduis que les sens d’Ambre sont aussi tourneboulés que les miens, voire plus.

— Vraiment très mignon… trop mignon…

Ayant murmuré ce qui précède, à ma grande surprise, Arnault s’agenouille, puis le bout de sa langue commence à titiller délicatement l’entrée interdite. Comme elle ne s’y attendait pas (et moi aussi), ma femme pousse un petit cri surpris :

— Hiii ! Tu fais quoi ?
— Tu sais très bien ce que je suis en train de faire…

Je ne savais pas qu’Arnault avec une telle prédilection pour la porte d’ébène. La caresse insidieuse semble plaire à ma femme qui se laisse faire sans problème. Je l’entends même soupirer faiblement. Je reconnais que je ne pratique pas souvent ce genre de cajolerie sur ma femme. Entre deux coups de langue, notre invité murmure :

— Mais quel cul !

Puis après quelques longues léchouilles, reprenant son souffle, Arnault se redresse, me regardant bizarrement. Puis il dit d’une voix légèrement tremblante :

— T’inquiète pas, juste me frotter ! Pas plus !

Puis sans attendre ma réponse, il ...

... déballe son engin bien raide qui forme un bel arc de cercle. Je ne suis pas un fan des verges, encore moins un collectionneur, mais je dois reconnaître que celle d’Arnault n’est pas moche, tant s’en faut.

Avec sa salive, il mouille son gland, puis prenant sa tige bien en main, il vient frotter celui-ci sur l’orée de l’anus dévoilé et déjà humecté. Ambre comprend vite la situation. Son premier réflexe est de serrer les fesses, ce qui emprisonne le cinquième membre de notre invité qui n’en prend pas ombrage. Il caresse l’œillet de ma femme avec sa verge bien raide. Appréciant cette nouvelle caresse, elle se détend, semblant accepter cette câlinerie un peu étrange et peu anodine.

Voire plus, si j’en crois les actuelles oscillations de son bassin !

De son côté, Arnault continue son petit manège, sa verge bien pointée vers le petit trou sombre de ma femme. À son regard et son expression, je constate qu’il est pleinement concentré sur ce qu’il est en train de faire. Puis, tournant partiellement son visage vers moi, il murmure :

— Aaah ! Je rêve de lui faire ça depuis un bon bout de temps !
— À ma femme ?
— Oui, à ta femme ! Avoue qu’elle a un popotin d’enfer ! Ne me dis pas que t’en as jamais profité de la sorte ?

Combien de fois suis-je passé par là ? Je ne compte plus ! Nous avons même eu une période durant laquelle nous faisions l’amour que par là. Je murmure à mon tour :

— Je mentirais si je disais non…
— Dans ce cas, tu me comprends…

Arnault continue de ...