1. Mission professionnelle et tentation de l'adultère


    Datte: 07/09/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... asséna plus tard Colette sans s'attirer le démenti de l'intéressée...
    
    ********Les jours suivants, Florence fut prise d'une véritable frénésie érotique. Rien qu'à la voir marcher, seins dressés, croupe louvoyante, lèvres humides, oeil pétillant, tout en elle disait : "je baise". Son sexe était devenu d'une sensibilité extrême, inédite. Dès qu'elle se touchait, elle flambait. Elle ne pensait plus qu'à la bite de Jérôme, au moment où elle la retrouverait et s'en gaverait. Son appétit sexuel était tel que le jeune amant de Colette fut appelé parfois en renfort pour "épauler" Jérôme quand les ruades crieuses de Florence, ou sa bouche de plus en plus experte, l'avaient fait éjaculer prématurément. Colette ne s'en formalisa pas. De dix ans plus âgée que sa collègue, elle n'avait plus la même capacité à enchainer les orgasmes. Elle joua les assistantes, stimulant Florence par le verbe et son partenaire du moment par sa main. Florence était dans une telle disposition qu'un jour de canicule, elle omit de porter un slip et un soutien-gorge sous sa robe à boutons. Le mouvement de ses mamelles sous la toile légère mit le feu aux mâles de son entourage et Jérôme dut très vite marquer son territoire. La tirant par la main, et sans attendre le soir, il la fit entrer dans un bureau, ferma à clé, sortit son engin, troussa sa robe jusqu'au nombril et l'enfila sur la table recta, sans préliminaire, le nez dans ses roberts découverts. Florence connut un tel plaisir ...
    ... qu'elle en mordit l'épaule de son barbu jusqu'au sang, ce qui le fit crier de douleur. Il en porta longtemps les stigmates.
    
    *****Malheureusement, le propre des missions est de s'interrompre et vint le jour où Florence et Colette durent se rendre à l'aéroport pour prendre l'avion du retour. Les adieux avec leurs chevaliers servants fut aussi douloureux que tumultueux. C'était comme si elles avaient voulu faire des provisions de sperme. Mais à l'arrivée, une fois leurs bagages récupérés, leurs époux respectifs les attendaient. Florence n'avait plus sa robe à bouton mais un ensemble jean chemisier beaucoup plus sage et Colette une robe stricte assortie à son brushing irréprochable. Qui aurait pu croire à ce moment que ces deux femmes mûres avaient vécu les jours précédents une véritable folie érotique ? Personne et surtout pas leurs conjoints, tout heureux de retrouver leur moitié. Rentrée chez elle, Florence retrouva ses habitudes de femme mariée et de mère, ses contraintes et ses plaisirs domestiques. Elle fit l'amour avec son mari après le coucher, non sans plaisir, mais dans un classicisme très éloigné de ses ébats de mission. Elle ne connut l'orgasme qu'en pensant à Jérôme, au jeune amant de Colette, à leurs échanges de bites si dures, si toniques, et sombra dans le sommeil après avoir joui. Mais le lendemain, sa vie routinière recommençait. Désormais, elle savait qu'une autre Florence était née. Et qu'un jour ou l'autre, elle réapparaitrait. 
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