1. Mission professionnelle et tentation de l'adultère


    Datte: 07/09/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... temps au cinéma, elle regagna sa chambre en espérant qu'elle serait vide. Peine perdue. Non seulement Colette était présente avec son jeune amant mais ils en étaient encore au stade des préliminaires, nus, assis face à face, se bécotant et se masturbant mutuellement.
    
    - Ah te voilà, déclara Colette. Fous-toi à poil et viens nous rejoindre.
    
    Comme Florence manifestait l'intention de se retirer, Colette insista :- Ne fais pas l'idiote. Tu n'es pas obligée de baiser si tu n'en as pas envie. Mais reste, regarde-nous.
    
    Florence céda. La curiosité l'emporta sur sa morale. Le couple semblait l'avoir attendue pour passer à l'action car le jeune homme, dûment capoté, pénétra aussitôt Colette avec une ardeur qui subjugua la voyeuse obligatoire, toujours debout au bord du lit. Le petit cul de mâle dansait, virevoltait, fouillait inlassablement la quinquagénaire qui lui signifiait verbalement son enthousiasme tout en lui talonnant les reins. Quand il la prit par derrière, les deux femmes se regardèrent et le plaisir intense que Florence découvrit sur le visage de sa collègue fut comme une décharge électrique dans son bas-ventre. Colette s'en aperçut et lui dit entre deux râles :- Enlève-moi cette fichue robe et mets lui la main aux couilles.
    
    Dans un état second, Florence s'exécuta, défit un à un ses boutons mais conserva son slip et son soutien-gorge, derniers remparts contre sa plongée dans le stupre. Elle s'assit néanmoins derrière le couple fornicateur et laissa sa main ...
    ... empaumer les couilles ballottantes du jeune homme. Ce contact fut si électrisant que son autre main entra dans son slip. Le contact de sa vulve trempée l'édifia. Elle était bel et bien dans le besoin de bite. Et quand le jeune homme se retourna, lui mettant sous les yeux son organe plantureux, comme dans un réflexe, elle l'emboucha avec d'autant plus de volupté qu'il avait retiré son préservatif pour mieux goûter sa bouche. Tout en se faisant sucer, il fit sauter la fermeture de son soutif et libéra les deux obus qu'il palpa avec ferveur. Ce fut pour Florence le déclic. On ne touchait pas ses seins sans conséquence.
    
    - Elle est mûre, baise-la, souffla Colette, assise en tailleur sur le lit, et qui tendit au jeune homme un autre préservatif fraichement sorti de son étui.
    
    Florence se laissa allonger et le reçut entre ses cuisses comme une délivrance. Emballé par les deux gros nichons étalés dont les mouvements de houle épousaient ses coups de boutoir, le gaillard la creusa pendant de longues minutes, stimulé s'il en était besoin par les mains de Colette qui poussait ses fesses au même rythme, comme pour l'enfoncer encore plus profondément dans Florence :- Vas-y à fond, elle en a besoin, soufflait-elle.
    
    Florence en perdit littéralement la boule, incapable de maitriser les mouvements spasmodiques de son bassin et l'agitation de ses pieds, tantôt dirigés vers le plafond, tantôt calés sur le dos de son amant. Elle ne retrouva son inertie qu'après un orgasme fulgurant qui la ...
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