Mission professionnelle et tentation de l'adultère
Datte: 07/09/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Micky, Source: Hds
... avait rosi sous son casque de cheveux châtains. Il était de fait que sa robe à boutons dévoilait de plus en plus son profond sillon mammaire, l'orgueil de son mari mais aussi le sien. Florence portait souvent de genre de robe dont l'amplitude ne soulignait pas trop ses formes généreuses, sauf quand elle défaisait un ou deux boutons de plus. Colette, qui l'avait vu nue dans les allées et venues entre la chambre et la salle de bain, lui avait avoué qu'elle enviait ses seins lourds et bien accrochés, "tout pour plaire aux hommes mais tu ne les montres pas assez", lui avait-elle dit. Et Florence avait fini par en tenir compte, ce qui lui avait valu aussitôt des rencontres de plus en plus fréquentes avec les éléments mâles de la mission. Sans qu'elle n'en ait jamais tiré parti.
******Un an plus tard, Florence retrouva Colette dans un lieu différent mais dans le même contexte d'entreprise. La différence était qu'une autre femme était venue se greffer sur leur duo, une grande duduche prénommée Sandrine, blonde et divorcée, qui bénéficiait quant à elle d'une chambre seule. Elle ne fit pas mystère aux deux autres qu'elle comptait mettre à profit sa liberté de femme non mariée, et la présence mâle copieuse, pour "baiser le plus souvent possible". Ce qui incita Colette à marquer d'emblée son territoire avec le jeune homme qui avait été son amant un an plus tôt, et toujours présent. Mais elle tint à Florence un discours inattendu que l'intéressée accueillit d'abord avec réticence ...
... :- Pas question qu'on recommence le cinéma de l'an dernier. Tu ne vas pas t'obliger à passer les soirées dehors pendant que je fais l'amour. Ou tu restes et tu participes, je ne suis pas jalouse et il y en a pour deux. Ou tu te décides enfin à te laisser emballer par ton barbu, qui est toujours là et qui continue à te tourner autour. Et on se retrouve tous les quatre dans la chambre.
Florence fut secouée par cette mise en demeure. A moins d'échanger son lit avec Sandrine, qui ne l'accepterait sûrement pas, il n'y avait pas moyen de s'échapper. Mais au fond d'elle-même, la cour assidue de Jérôme, le barbu musclé, commençait à l'émouvoir. Elle répondait par des chatteries à ses tentatives de drague et laissait bailler sa robe quand il venait la voir à son bureau. Elle avait même défait les boutons du bas afin qu'il puisse subrepticement mater ses cuisses lorsqu'elle faisait tourner sa chaise. Après un mouvement un peu brusque de la secrétaire, il put apercevoir fugitivement son slip. Il sut qu'il allait la baiser, enfin, cette femelle aux appâts si juteux. Et ne plus se contenter de mater les deux gros roberts calés dans le soutien-gorge pigeonnant dont les bonnets étaient complaisamment exposés.
Pour elle, la question était la suivante : devait-elle céder tout de suite ou un peu plus tard , ou pas du tout ? Céder à son bas-ventre, de plus en plus humide, ou donner encore la primeur à son esprit d'épouse ? Elle balançait encore quand, après avoir une nouvelle fois tué le ...