1. Septembre – Réunion de rentrée


    Datte: 04/09/2024, Catégories: fhh, couplus, Masturbation 69, jouet, journal, couplea3, Auteur: Camille.R, Source: Revebebe

    ... sa poitrine se soulève et s’abaisse lentement. Toujours sans ouvrir les yeux, il tourne son visage vers moi, me sourit. Je dépose un baiser sur ses lèvres. Il me regarde enfin, et me dit :
    
    — Bonjour, voyeuse.
    
    Je réponds :
    
    — Bonjour, branleur.
    
    Il rit.
    
    — J’ai pas fait exprès, je rêvais et voilà.
    — En fait, je t’ai un peu aidé pour « et voilà ». Quand j’ai vu que tu bandais en dormant, j’ai posé ta main sur ta bite.
    — Ah ? Ben merci alors, tu as bien fait. C’était sympa. Mais toi, alors ?
    — T’inquiète pas pour moi, ça me va très bien, ce matin, le rôle de provocatrice et mateuse.
    — Tu ne perds rien pour attendre.
    
    Je le sais bien, et en effet, le soir même, Maxime me fait l’amour avec douceur et passion.
    
    Depuis la rentrée, j’ai rencontré Guillaume sur notre lieu de travail commun, à quelques reprises. Nous en restons à une attitude de collègues qui se connaissent un peu. Notre interaction ne va jamais plus loin qu’un café au distributeur dans le hall. Mais lors d’une telle occasion, en prenant bien soin de ne pas être entendue par des collègues alentour, je lui ai glissé que Maxime et moi l’invitons à se joindre à nous samedi prochain. Contrairement à Lucia, Guillaume est toujours célibataire, alors sans trop de surprise, il est libre.
    
    Nous voici tous les trois, prêts à prendre un verre au salon. Je propose aux deux hommes de s’asseoir sur le canapé du salon, tandis que je prends un fauteuil en face. Quand j’estime qu’on a assez bavardé, je prends ...
    ... l’initiative : je me lève de mon fauteuil, et viens m’installer sur le canapé, entre eux deux. Ils n’avaient pas laissé tellement de place entre eux, alors nous sommes un peu serrés. À vrai dire, c’était le but. Une fois installée, je ne bouge plus, je reste sage, mes mains sur mes genoux. Mais l’invitation est claire, et ils ne se font pas prier.
    
    Chacun de son côté commence à me caresser, à déposer de petits baisers dans mon cou, sur mes épaules. Je reste en apparence de marbre, mais je commence à me sentir émoustillée. Surtout que naturellement, ils n’en restent pas à des papouilles de collégiens. Ils me caressent les seins, les cuisses – je porte un short fin –. Une main de Maxime se glisse sous mon T-shirt, tandis que celle de Guillaume parcourt mon ventre. Je ne fais toujours rien, à part lever les bras quand on commence à m’ôter mon T-shirt, rapidement tiré à quatre mains. Mais je reprends mon attitude neutre juste après. Les lèvres et les langues jouent à se partager ma poitrine, qu’il faut bientôt libérer de son soutien-gorge. Je me laisse faire, et me contente de recevoir de nouvelles caresses, un peu plus chaudes. Ma respiration trahit mon émoi, mais à part ça, je parviens à rester de marbre.
    
    Les mains baladeuses ont envie d’explorer plus bas. Qu’elles ne s’en privent pas ! C’est une main de Guillaume qui s’immisce entre mes cuisses, les écartant un peu au passage. Elle s’éloigne bientôt, mais une main de Maxime la remplace, un peu plus hardie, qui frotte mon ...
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