1. Septembre – Réunion de rentrée


    Datte: 04/09/2024, Catégories: fhh, couplus, Masturbation 69, jouet, journal, couplea3, Auteur: Camille.R, Source: Revebebe

    ... des mains, et de l’imagination. Mais maintenant, il faut me comprendre, je ressens moins l’urgence de m’envoyer en l’air.
    
    Par contre, je suis encline à jouer un peu. Alors, je soulève le drap. En faisant très attention à ne pas réveiller Maxime, je prends sa main, et la dépose, ouverte, sur son sexe en érection. Il ne réagit pas. J’attends un moment, puis je couvre sa main de la mienne, et très délicatement, je referme ses doigts autour de sa bite dressée. Je note un changement dans sa respiration. Je retire ma main, et j’attends. Quelques instants plus tard, ce que je souhaitais se produit : Maxime bouge sa main sur son sexe dressé. Il a bien les yeux fermés, mais il n’est plus immobile comme auparavant. Le mouvement de la main est d’abord désordonné, puis semble s’organiser en un lent va-et-vient. Je l’observe avec curiosité, comme un entomologiste regarde vivre une fourmilière. Je vois que la main s’égare un instant sur les testicules, puis revient sur la bite. Elle prend un mouvement de balancier, lent et régulier.
    
    J’ignore s’il dort encore, mais c’est indubitable : il est en train de se branler. Je le regarde faire, sans intervenir. Ma contribution a consisté à lancer l’idée, j’estime que c’est suffisant. Mon mari ne semble pas d’un autre avis : il s’occupe de lui-même, tout en douceur. Il serre sa bite dans son poing, qui lentement monte et descend. Il n’est à l’évidence pas pressé, et profite de sa masturbation. C’est beau, un homme qui se branle. Je me demande à ...
    ... quoi il rêve, ou pense, je ne sais pas bien. Il soupire un peu plus fort, et son mouvement manuel s’accélère un peu. Après quelques va-et-vient, sa bite, tendue, laisse échapper une petite goutte de liquide transparent. Alors la main délaisse un instant la tige pour étaler ce liquide visqueux sur le gland, autour duquel tournoient deux doigts. Il respire fort et gémit. Il n’ouvre toujours pas les yeux, mais j’en suis sûre, il ne dort plus. Il se branle en sachant que je le regarde.
    
    Sa main lâche le bout de la bite, se pose sur les couilles, qu’il caresse longuement. Sa bite est agitée de soubresauts. Il la reprend en main et se masturbe de haut en bas, dans un mouvement très ample, qui s’accélère progressivement. Il respire de plus en plus fort. Il ralentit la cadence, s’interrompt, puis reprend son mouvement. Il s’arrête ainsi, puis recommence plusieurs fois. Sa respiration qui se transforme en halètements montre qu’à chaque fois, sa jouissance monte d’un cran. Une dernière fois, il concentre sa caresse sur l’extrémité le temps de tourner autour deux ou trois fois du bout des doigts. Quand il referme sa main sur sa bite, c’est à l’évidence le début de la dernière ligne droite : il serre son sexe dans son poing, qui effectue un mouvement régulier, qui accélère, puis brusquement s’arrête. Il serre le poing autour de sa bite, qui crache un jet de sperme jusque sur sa poitrine, puis un autre, moins puissant. Le troisième coule le long du gland.
    
    Maxime ne bouge plus, seule ...
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