1. Psyché


    Datte: 31/08/2024, Catégories: fh, hh, couple, couplus, candaul, voisins, fsoumise, hsoumis, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Masturbation intermast, Oral pénétratio, hsodo, fouetfesse, confession, bisex, Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe

    ... vigueur se dirige lentement vers son petit trou.
    
    Elle est aux premières loges. Jamais je n’avais imaginé de cette façon. Je voulais lui montrer mon homosexualité sous un autre jour, avec des jeux moins directs. Pourtant avec mes amants au travail nous n’avions pas d’états d’âme ni de limite… nous allions au plus pressé, au plus efficace afin que chacun obtienne ce qu’il était venu chercher.
    
    Elle voit bien mieux que moi le mandrin se frotter, le gland appuyer. Voit-elle mon visage ou est-elle toute concentrée par ce que je subis ? La pression volontaire, les mains qui se saisissent de mes hanches, la lente progression de ce qui me possède et déclenche un soupir que je ne peux retenir.
    
    Un soupir suivi d’un autre, puis d’un autre, souffles expirés comme si ce qui avance dans mes entrailles chasse l’air devant lui.
    
    Finalement, c’est mieux que je ne puisse pas la voir. J’aurais trop honte de croiser son regard. J’aurais honte de découvrir ce qu’elle pense de cet homme qu’un autre encule. Oui, « encule », car José a abandonné toute délicatesse. Il a posé ses mains sur mes épaules et s’en sert comme appuis pour me retenir. Me retenir alors qu’il me bourre avec de grands coups de reins.
    
    Il ne parle plus. Il est tout à son plaisir. Je connais cette sensation, différente de celle que l’on peut avoir avec une femme, même si on la prend par derrière, sensation toute virile de celui qui possède un mâle comme lui.
    
    À quoi pense-t-elle ? Pour elle aussi cela doit être ...
    ... une sensation étrange de voir son mari se faire labourer ainsi, et un mari qui n’arrive pas à cacher son plaisir, même si jamais on le l’avait possédé ainsi.
    
    Oui, à quoi pense-t-elle alors que José me fait tourner pour m’allonger sur le dos, me tire les jambes vers le ciel pour les poser sur ses épaules et me reprendre à nouveau ?
    
    Que fait-elle ? Est-ce que cela l’excite, ou la révulse ? N’ai-je pas été trop optimiste en pensant que nos confidences nous permettraient tout ?
    
    De toute façon, c’est trop tard, le mal est fait. Elle ne peut que constater que José me branle tout en me baisant. Que très vite je crache mon sperme dans un geyser qui me souille alors que tout au fond de moi, un autre geyser me remplit.
    
    Autant avec une femme, encore plus avec son épouse, son aimée, son amante, à la fin du sexe, les corps se cherchent pour de la tendresse. Autant avec un homme, je parle d’un homme sans amour, la fin du sexe est toujours un peu glauque. Le foutre qui me souille, le sperme qui suinte de mon anus ne facilitent pas le retour à la normale.
    
    José veut se rhabiller.
    
    — Reste un peu. Je reviens.
    
    Je sors de la pièce. J’en fais le tour. J’entre dans celle où Rachel est installée et où elle a assisté à… ma déchéance ?
    
    Je suis inquiet. Mais elle me sourit.
    
    — Eh bien, c’était très intense.
    — Ce n’était pas trop ? Tu n’as pas trouvé que je…
    — Vous m’avez étonné. Je ne pensais pas que…
    — Moi aussi, c’est José qui…
    — José qui… comme tu dis. Mais cela n’a pas ...
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