1. Emprise - Histoire d'Aïké (01)


    Datte: 30/08/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: byAPVapv, Source: Literotica

    ... et les larges aréoles foncées qui perçaient le tissu.
    
    Aïké comprit l'enjeu. Il n'y a d'ignoble que ce qui est inconcevable, d'inconcevable que ce qui est inconnu. Mais l'ignoble perspective qui se tramait sous les yeux de la jeune fille ne lui était guère inconnue. Dans les rues de Mogadiscio, elle avait assisté à des viols collectifs. Une lave corroda d'un coup ses entrailles.
    
    Sa mère ne savait pas comment se soustraire au regard de sa fille et le père se planqua lâchement au fond de la cale comme Hassan. Les deux hommes se résignaient à subir la honte et l'humiliation.
    
    Le plus grand des matelots se colla à Faduma et ôta le hijab avant d'embrasser la femme qui consentit à se laisser faire. La longue langue râpeuse du marin envahit la bouche féminine alors que les mains calleuses palpaient les hanches autrefois généreuses.
    
    Aïké observait malgré elle les élans libidineux de l'homme. Ses cuisses frissonnaient. Le Capitaine accrocha sa casquette à un rivet et approcha de Halima qui tremblait en regardant sa fille.
    
    - Viens là ma belle. Ne t'inquiète pas pour ta fille. On ne la touchera pas. Par contre, elle voir ce qu'une femme doit être : obéissante et soumise.
    
    Il dégrafa son pantalon et exposa son pénis déjà en érection. Les veines noires impressionnèrent la jeune fille qui observa sa maman s'agenouiller au sol avant d'introduire la chair dans sa bouche. Le dernier matelot se branlait en regardant ses compagnons baiser les femelles. Faduma était nue à ...
    ... présent, ses seins serrés dans les grandes paluches de son violeur. La verge de ce dernier, longue et fine, dardait les fesses nues. Le Capitaine déshabilla entièrement Halima sous les yeux de sa fille avec perversité.
    
    - Regarde comme ta maman est belle.
    
    Il plaqua la femme, face contre la paroi métallique de la cale et pénétra sa bite mouillée de bave dans le sexe broussailleux. Aïké entendit le gémissement de sa mère et sentit son ventre frémir. Faduma et Halima subirent les bites des marins qui s'arrimèrent à leurs hanches pour mieux s'enfoncer. Le grincement du bateau rythmait les ébats. Les deux mères de famille ne couinaient pas mais les gémissements des hommes cassèrent ce funeste silence lorsqu'ils se répandirent dans les vagins violés.
    
    On mangea deux jours de plus. Personne ne parlait et ça hurlait dans la tête de la jeune fille de 18 ans qui voulait comprendre, dire, s'épandre sur la révolte et l'excitation qui était montée en elle.
    
    Le jour où le bateau passa le canal de Suez, pour plonger dans le Grand lac Amer, les deux femmes durent à nouveau se soumettre aux pulsions des marins sous les yeux de leurs maris et de la jeune fille. Tous les trois jours, quand la faim tiraillait les ventres, le ventre des femmes étaient en offrande. Aïké commença à se caresser le soir en cachette peu de jours après. La souffrance de sa mère faisait à son désir ce que le vent fait aux voiles, il les gonfle. Un profond malaise qu'elle ne pouvait pas communiquer pressait la pauvre ...
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