1. Nu à l'hôpital (08)


    Datte: 28/08/2024, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: bySJeje, Source: Literotica

    ... dans la voiture, en érection, porte ouverte. Les voisins commencent à s'approcher timidement. Face à ce mouvement, la policière sort sa matraque télescopique et commence à titiller mon sexe avec. Elle ajoute « Cessez de vous donner en spectacle, c'est indécent ». Je n'ose lui dire que ce faisant, elle maintient précisément mon érection.
    
    Les voisins continuent à avancer. Ils viennent à la rencontre de la policière qui se recule pour les accueillir. Ce faisant, elle brise ma dernière occasion d'être un peu dissimulé. Sept voisins sont là et commencent à commenter tout ce qu'ils ont vu : mes érections, mon passage chez la voisine d'à-côté, mes douches devant la vitre, mes allers-retours. Ils ne s'adressent plus vraiment à la policière mais sont tous tourné vers moi, les regards callés sur mon entrejambe qui, cette fois-ci, perd progressivement de sa vigueur, comme dans un geste de pénitence.
    
    L'autre policier revient. Tournant la tête, je vois mon infirmière fermer ses rideaux. Il me sort brutalement de la voiture, me laissant debout, nu, menotté, entouré des sept voisins et deux policiers. Il s'adresse à sa collègue, en disant « C'est bon. J'ai pris l'identité du jeune homme. La dame qui habite là se porte garante ». Il se tourne ensuite vers les voisins : « Nous allons recueillir vos témoignages. En attendant, votre voisine vous garantit qu'elle le tiendra à l'œil ». Me bousculant encore jusqu'à la maison de mon bourreau, je pars sous les regards des voisins, humilié et ...
    ... toujours menotté. Le policier ne m'enlève les menottes qu'une fois ayant pénétré dans la maison. Il salue l'habitante en disant « Je vous le laisse ».
    
    L'infirmière dans un calme inquiétant me demande de m'assoir dans le canapé et débute un monologue : « Je suis désolée que les choses en soient arrivées là, mais vous êtes responsable. Si ce matin, vous ne vous étiez pas rebellé comme je vous l'avais interdit, nous aurions pu éviter tout ça. Nous aurions pu éviter d'impliquer mes voisins et la police ». Lorsque j'entends ces mots, je déborde de questions dont je ne veux pas connaitre les réponses : Tout ceci aurait été prémédité? Aurait-elle elle-même appeler la police? Jusqu'où pourrait-elle aller pour me soumettre? Le fait est que je la crains, et que son machiavélisme semble sans limite.
    
    Elle reprend : « Si vous décidez de devenir conciliant, je vous donne une occasion de rentrer chez vous, dès ce soir. Le souhaitez-vous? ». Je réponds immédiatement un « oui » dont le ton montre ma résignation et ma soumission à accepter toutes les conditions. « Très bien », dit-elle, « Les caisses que vous avez ramené dans le garage sont pour ce soir. Mon maigre salaire d'infirmière n'est pas suffisant, et je complète par de petites réunions pour ces dames.... J'y vends des articles de sexe... Le fait est que les ventes sont faibles ces derniers temps et que j'ai beaucoup de mal à vendre les articles masculins ». Je l'écoute attentivement. « Ce soir, j'attends huit de mes meilleures ...