1. Nu à l'hôpital (08)


    Datte: 28/08/2024, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: bySJeje, Source: Literotica

    Je suis à nouveau dehors, nu, en plein jour. Je sens les regards de la rue posés sur moi. Je croise ça et là, les regards inquiets des voisins, à leurs fenêtres.
    
    Je tente de dissimuler tant que possible mon sexe en érection. Je le maintiens collé contre mon ventre, utilisant mes deux mains. J'entame alors une course en plein rue jusqu'à la porte de mon infirmière. Lâchant la main droite pour frapper violemment à la porte, j'expose ainsi mes testicules et le bas de mon pénis. J'entends la femme parler derrière la porte, mais elle ne semble aucunement perturbée par le bruit derrière sa porte. Mon érection ne faiblit pas. Sans doute, parce que l'adrénaline aidant, ma main serre brutalement mon pénis contre ma peau.
    
    Les minutes défilent, je frappe à cette porte toutes les 30 secondes, espérant un abri à ma nudité. Entre chaque tambourinage, je me retourne, constatant les voisins toujours postés derrière leurs fenêtres. Alors que je m'apprête à effectuer une nouvelle tentative de faire ouvrir cette porte, j'entends un bruit de moteur lent.
    
    Je me retourne et vois une voiture de police arriver lentement.
    
    Sans réfléchir, je me jette dans les buissons sur le côté de la maison. Là, la voiture émet un bref coup de sirène. La voiture s'arrête devant la maison. Un homme et une femme en uniformes sortent de la voiture. Ils arrivent face à moi. Je suis à terre, les bras écartés. Ils me saisissent chacun un bras et me relève. L'officier, tout en serrant mon poigné, me passe un ...
    ... savon « Monsieur. Vous n'avez pas le droit de vous balader nu, comme cela, dans un quartier résidentiel! C'est un attentat à la pudeur! Vous risquez de gros ennuis! ». Voyant que je reste aréactif, il ajoute d'un ton sec et autoritaire « Où sont vos vêtements? ». Pris par la peur, ma réponse spontanée est « Je ne sais pas... ». Cette réponse a le don d'énerver le policier. Ce dernier me tire violemment le bras et m'entraine vers la voiture, obligeant sa collègue à lâcher l'autre bras. Il me plaque contre le capot de la voiture si fort que mon pénis est endolori, pressé contre le métal chaud du la voiture. Sa collègue le rejoint, collant mes poignés contre mes fesses, et me passant les menottes. Je suis alors sauvement relevé et bousculé pour faire le tour de la voiture. A chaque bousculade, je sens mon sexe dur rebondir.
    
    Les voisins sont tous sortis sur le trottoir, témoins de cette nouvelle scène humiliante. Sous leurs regards, j'atteins la porte arrière qui m'est ouverte et je suis assis dans un nouveau geste violent dans la voiture. Alors, que la jeune policière s'apprête à fermer la porte, je dis, tournant la tête vers la maison : « C'est elle! ». Voyant les deux policiers arrêtés et prêts à m'écouter, je développe « C'est la dame qui habite là. C'est elle qui a pris mes vêtements ». A cette remarque, le policier se tourne vers sa collègue et lui dit « Je vais voir cette dame. Surveille-le! ».
    
    Alors que ce dernier va à la rencontre de mon infirmière, je reste assis ...
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