Impulsions comateuses (1)
Datte: 17/07/2019,
Catégories:
Divers,
Auteur: OnoX, Source: Xstory
... gonfler peu à peu et sur un coup de tête l’attrapa entre ses lèvres.
— Wow ! dit-il surprit par la sensation.
Théo soupira d’aise.
— C’est trop bon.
En attendant ses mots, elle le suça intensément. De la pointe de sa langue, elle titilla son frein puis fit des allers-retours jusqu’à la base.
— C’est ma première fellation et c’est...très agréable.
Carline aspira fort la verge. Théo retomba immédiatement sur son oreiller, sans force.
— À partir de maintenant j’en demanderai une tous les jours.
Carline avala de travers et se releva.
— Tu ne diras pas que je t’en ai fait une ? demanda-t-elle inquiète.
— Non bien sûr, je n’ai pas envie que l’on me demande qui est la meilleure ou quelque chose dans le genre.
La réflexion la fit franchement rire puis elle reprit son office. Quelques secondes plus tard, son bip d’alarme sonna fort dans la chambre silencieuse.
— Humpf !
Elle avala sa salive mêlée de sperme. Essuya la verge, remit le pyjama correctement, prit la serviette sale et dit :
— Désolé, faut que j’y aille, dit-elle.
Théo la regarda avec un grand sourire et dit :
— Pas de soucis, demain tu pourras continuer la fellation ou on pourra le refaire. Ce que tu m’as dit n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd.
Carline ouvrit la bouche et pensa à sa pauvre petite chatte qui aurait bien besoin de repos.
— OK pour la pipe ! À demain.
Elle sortit de la chambre, mit la serviette au linge sale et se retrouva ...
... devant sa collègue.
— Tu en as mis du temps, dit Noémie avec colère. Ça fait vingt minutes que tu devrais être là, qu’est que tu as fou...
Elle observa sa collègue et ouvrit grand les yeux et la bouche.
— Je vois que tu n’as pas été rebuté tant que ça.
Carline secoua la tête et répliqua :
— De quoi tu parles ?
— Ha ha ha ! Écoute ! Je te juge pas, mais ton décolleté ? Je crois qu’il sait de quoi je parle. Il porte la marque de fabrique du petit Théo.
Carline baissa les yeux et vit qu’elle n’avait pas reboutonné son chemisier et quand elle voulut le faire son soutien-gorge s’ouvrit en grand. Noémie rit.
— J’y crois pas, mais jusqu’où tu es allé avec lui ? Demanda-t-elle devant la poitrine dévoilée.
Carline se rhabilla et dit sur le ton de la conversation :
— Tu as raison sur une chose et tort sur une autre.
Noémie la regarda et demanda :
— Ah, oui ? Et sur quoi et quoi exactement.
Carline replaça correctement ses seins dans leur balconnet.
— Alors ? insista Noémie.
— Premièrement, c’est vrai qu’il est doux et fort.
Sa collègue acquiesça et lui fit signe de continuer, Carline se pencha vers elle pour chuchoter à son oreille.
— Et deuxièmement, il est vraiment très loin d’être petit, dit-elle appuyant fortement sur le "vraiment".
L’aînée la regarda dans les yeux, estomaquée de la révélation. Durant toute la nuit elle demanda des détails mais Carline ne lâcha que quelques brides d’information, et rien de plus.