1. Impulsions comateuses (1)


    Datte: 17/07/2019, Catégories: Divers, Auteur: OnoX, Source: Xstory

    ... minutes.
    
    — Je pense que vous les avez fermés plus que quelques minutes.
    
    Il regarda l’horloge.
    
    — Ah, oui ! Je vois ça.
    
    Il se frotta les yeux et regarda Carline qui rangeait son livre.
    
    — Merci, dit-il.
    
    Il tendit ses mains et lui attrapa les seins. Surprise Carline se figea. Elle ne sut quoi faire en premier, repousser ses mains ou lui rappeler les consignes du psychologue.
    
    — Euh...Théo...Il faut...Il faut que vous restiez...
    
    Pendant les réflexions de l’infirmière, Théo ne perdit pas son temps, et commença à faire pointer les tétons à travers son haut.
    
    Elle ne souvenait plus des consignes. Elle resta coincée dans la situation. Il défit les boutons retenant le haut et passa ses mains sous celui-ci. Il l’écarta et révéla la poitrine de Carline.
    
    — Elle est vraiment très jolie.
    
    Carline le regarda sans comprendre.
    
    — Votre poitrine, répéta-t-il, elle est jolie, et cette lingerie avec.
    
    — Mer...merci.
    
    Il fit glisser deux doigts à l’intérieur du balconnet et fit rouler le téton. Elle déglutit et pensa que c’est vrai, qu’il est doux.
    
    — Ooooh, Théo, ce n’est pas bi...
    
    Elle laissa sa phrase en suspens en voyant le drap, sur l’entre-jambe de Théo, se tendre. Il continua son inspection et vit quelque chose de surprenant.
    
    — Il s’ouvre sur le devant, dit-il en faisant glisser son doigt sur le système de fermeture du soutien-gorge.
    
    Carline le regard toujours obnubilé par la trique qui vibrait sous les draps, ne remarqua pas lorsqu’il ...
    ... déboutonna le chemisier. Il libéra sa poitrine d’un claquement de doigts.
    
    — Théo vous allez trop...
    
    Elle garda la bouche ouverte sur un "ah" muet, lorsqu’il attrapa un de ses tétons entre ses lèvres. Il le suça avec délice.
    
    Le cerveau de Théo, libre de toutes barrières de gêne, de doute et d’hésitation, lui offre un don particulier, une douceur du geste non-retenu, une empathie avec l’objet de son désir. Cela l’amène à répondre au quart de seconde à toutes les réactions de l’infirmière. Carline céda petit à petit et le laissa investiguer plus loin sur son corps.
    
    Elle ne se sentait jamais très jolie, un visage quelconque, sur un corps dodu mais avec quelques formes. À la trentaine, elle n’avait connu qu’un seul homme et rien de mémorable. Mais sentir un tel désir pour elle, la changea et elle se laissa aller.
    
    — Votre peau est douce, je pourrais faire ça des heures entières.
    
    Une de ses mains était descendue dans son dos et lui malaxait les fesses. Il ajouta :
    
    — J’adore vos fesses, elles sont rondes, rebondies et tout aussi douces.
    
    Carline faillit lâcher une larme devant tant de compliments. Il fit glisser le bas de l’uniforme de l’infirmière, la culotte suivit de prêt.
    
    — Par dame nature ! Avec vos fesses vous devriez porter des strings voyons !
    
    Carline rougit un peu honteuse de sa culotte de grand-mère et sourit :
    
    — Je...je...
    
    — Non pas d’excuses, vous devez au moins mettre un tanga, dit-il en la regardant dans les yeux.
    
    Elle l’embrassa et ...
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