Mama Allpa
Datte: 26/08/2024,
Catégories:
f,
fh,
hagé,
profélève,
cérébral,
entreseins,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
fantastiqu,
fantastiq,
prememois,
Auteur: ChrisM, Source: Revebebe
... Seulement, il est en arrêt maladie et le patron me propose Fabien, un nouveau chez lui. Je fais un peu la tête, il me garantit que ce gars travaille super bien, qu’il n’en a eu que des compliments.
Quelques jours plus tard, Fabien arrive. Après lui avoir précisé le son que j’attends de mon piano, il se met au travail. Je réalise que c’est la première fois, depuis Arthur, qu’un homme seul rentre chez moi. Pendant qu’il opère, je l’observe à la dérobée, on doit être du même âge, grand, cheveux en bataille, visage souriant, de grandes et belles mains. C’est vrai, il fait du bon boulot, les marteaux sont redevenus souples, j’ai retrouvé une bonne clarté des graves et les aigus chantent bien. J’attaque une sonate, c’est du bonheur. Tout le temps que je joue, je sens sa présence attentive derrière moi, je devine ses regards sur moi, il me trouble. À peine terminé mon morceau, je lui fais part de ma satisfaction, il part.
Immédiatement, je ressens un grand vide. Peut-être que je suis passée à côté de quelque chose, mais je me fais des idées, lui est resté en retrait, dans une relation strictement professionnelle. Deux semaines se passent, j’ai toujours ce creux à l’estomac.
Alors je me décide à rappeler le patron de la boutique, lui demandant de faire revenir l’accordeur.
— Un problème ?
— Juste une pédale qui accroche un peu.
— Ça ne doit pas être bien long à régler, il peut passer vendredi en fin d’après-midi.
Le vendredi, en rentrant du collège, je vais chercher ...
... ma statuette à la cave. Elle ne m’en veut pas de l’avoir délaissée, elle est tiède.
Ensuite, c’est allé très vite. Dès que Fabien s’approche du piano, il repère la statuette. Sans me demander, il la saisit, la caresse.
— C’est étonnant comme c’est chaud ! On aurait dit qu’elle m’appelle.
Il est tout chose, moi aussi. Sans dire un mot, je m’avance, il me prend dans ses bras, me serrant à m’en étouffer, sa bouche cherche la mienne, nos langues s’entrecroisent. Je n’ai embrassé personne depuis le lycée, mais répondre à son baiser est une évidence. Ses mains me malaxent les fesses aussi fort que j’agrippe les siennes, son sexe grossit contre moi, je colle mon pubis contre son ventre. Sans nous détacher, nous nous déshabillons mutuellement, nos vêtements volent pendant que nous nous dirigeons vers la chambre. Avant même de tomber sur le lit, il me pénètre. La présence de son sexe en moi, c’est une évidence, une nécessité, mon vagin n’existe que pour le recevoir. Mon premier orgasme arrive en trombe, je sens à peine sa bite continuer d’aller et venir en moi. C’est une grande satisfaction de sentir ses longues giclées en moi, je voudrais que cela ne s’arrête pas. Et plus surprenant, sa queue reste raide.
— S’il te plaît, continue.
Et il reprend à grands coups rapides. Parfois, sa queue sort complètement de mon vagin, blanche du sperme mousseux.
— Ne t’arrête pas, ne t’arrête jamais.
Je jouis de nouveau, et c’est dévastateur. Sans se soucier de moi, lui continue ...