1. Mama Allpa


    Datte: 26/08/2024, Catégories: f, fh, hagé, profélève, cérébral, entreseins, Oral préservati, pénétratio, fsodo, fantastiqu, fantastiq, prememois, Auteur: ChrisM, Source: Revebebe

    ... s’agitent, libèrent le clitoris. Impossible de lâcher la statuette, je ne contrôle plus rien. Je m’affale sur le canapé, serre les dents pour ne pas crier, l’orgasme arrive et emporte tout.
    
    Je crois que je suis tombée dans les pommes. Quand j’ouvre les yeux, heureusement que mon beau-frère n’est pas là, la chemise de nuit est complètement retroussée, je suis offerte, les jambes écartées, la chatte à l’air. Je tiens toujours la statuette, elle est froide. Je me suis fait un sacré film, mais difficile d’oublier que j’ai rarement joui comme ça.
    
    oooOOOooo
    
    Le mardi suivant, un appel d’Arthur, c’est mon retraité.
    
    — Bonsoir, Margot, (oui, c’est mon prénom, Margot, ça fait aussi partie des choses que je n’aime pas chez moi).
    — Bonsoir, Arthur,
    — Je vous rappelle pour mon cours de jeudi.
    — Oui, vous me l’aviez dit, vous allez à un concert.
    — C’est pour cela que j’appelle, ma femme doit partir en urgence chez notre fille, elle ne pourra pas venir. Je me suis dit que si la place vous intéressait, je vous l’offre avec plaisir.
    
    J’apprécie le concertiste, plutôt rare à Paris, il présente un programme sympa, un mélange de sonates connues et de pièces plus rares, alors j’accepte.
    
    Lorsque nous sortons du concert, il n’est pas 20 heures et Arthur me propose de boire un verre. Je suis encore sur un petit nuage, la dernière sonate me trotte encore en tête, j’ai envie de la jouer chez moi. Cependant, pour remercier Arthur de son invitation, je l’invite à prendre le verre à ...
    ... la maison, j’avais acheté du champagne pour le passage de ma sœur, mais on n’y avait pas touché.
    
    Dès qu’on arrive, je me mets au piano. Les notes coulent facilement, je me sens bien. D’autant plus qu’Arthur a ouvert la bouteille, posé un verre à côté de moi. Je bois rarement de l’alcool, mais ce champagne, glacé, est très plaisant.
    
    Arthur est derrière moi, je ressens physiquement sa présence. Et monte cette envie, la rougeur qui monte aux joues, les seins qui durcissent, le ventre qui se contracte. C’est lui qui me fait ça ? Pourtant, ce n’est pas un canon de beauté, même pour un sexagénaire, plutôt petit, un peu rond, les traits marqués, de grosses poches sous les yeux, des cheveux gris clairsemés.
    
    — Vous savez que vous êtes belle ?
    
    Sa voix est douce, caressante. À lui aussi, la statuette fait de l’effet ?
    
    Ses mains se posent doucement sur mes épaules, massent délicatement la nuque, la chaleur de ses pouces se propage dans mon corps.
    
    — Continuez à jouer.
    
    Ses massages s’élargissent, les épaules, les omoplates, descendent au bas du dos. Les mains contournent la taille, remontent vers les seins, les empaument. Ses doigts titillent mes tétons, ils sont tellement durs que j’en ai mal.
    
    — Arrêtez, je vous en prie, lui dis-je dans un souffle.
    — Tu es sûre ?
    
    Il défait mon chemisier, bouton après bouton, l’ouvre. Me fait glisser un bras, puis l’autre, le vêtement tombe. Le soutien-gorge est dégrafé et viré sans que j’arrête la musique.
    
    Je sens son haleine ...
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