Un invité
Datte: 25/08/2024,
Catégories:
fhh,
hagé,
extracon,
inconnu,
handicap,
fsoumise,
humilié(e),
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
fdanus,
exercice,
dominatio,
Auteur: Effrontee, Source: Revebebe
... Maintenant, montre-leur ton sexe et ton petit trou. Ouvre-toi.
La tête appuyée sur le dossier du fauteuil pour libérer mes mains, j’écarte les deux globes de mes fesses pour découvrir mes intimités à ces voyeurs. Je ne ressens aucune honte ni humiliation, au contraire, une certaine fierté, car je me laisse à penser que je suis seule à prendre la décision de m’exhiber ainsi. Et qu’ils sont les objets de mon seul plaisir.
Le silence qui suit est lourd. Personne ne bouge dans la pièce, si bien que j’en arrive à douter d’une quelconque présence.
— Chantal, tu veux qu’on te baise ?
— Oui. Mais vous, j’ai envie de vous seulement.
— Ton mari le saura-t-il ?
— Comme vous voulez.
— Mais toi, tu souhaites l’informer ?
C’est dur, très dur de répondre, car je n’ai aucune certitude de savoir qui est présent.
— Non, Monsieur, je ne le souhaite pas.
Je me rends compte que ma réponse accroît mon plaisir sans vraiment savoir pourquoi. Faire de mon époux un cocu ? Plonger dans l’adultère ? Ou plutôt vouloir le ménager et taire ma faute pour préserver notre couple ?
— Enlève les mains de tes fesses maintenant, mais reste le cul bien haut.
Quelqu’un s’approche, j’en suis sûre. À quatre pattes sur ce fauteuil, le cul dirigé bien haut vers ce fantôme, je suis suspendue à son bon vouloir.
Mon tortionnaire, toujours à mes côtés, me prend les mains qu’il porte aussitôt sur le dossier sur lequel repose ma tête dans une position accrue de soumission. Notre relation ...
... incline vers un rapport sado-maso. Car s’il est sadique avec moi, me réduisant à un simple objet sexuel affaiblissant mes résistances, j’y prends moi-même un plaisir jusque là jamais ressenti. Je suis en train de vivre un moment exceptionnel.
Jamais je n’avais été attirée vers ces pratiques. Devrai-je demain me faire fouetter ou gifler pour jouir ? L’idée me fait peur. Mais à ce moment précis je mouillais, et la vulve ouverte, cela devait se voir.
Moi-même aveugle, il m’expose à des yeux, des regards bien réels dont je ne sais rien et que j’imagine chargés de vice. Une onde, une vague un frisson envahit la totalité de mon corps. Mes bras, mes jambes, mes mains se remettent à frémir, pourtant je reste là ! Je devrais ressentir du déshonneur – humiliation suprême – dans cet abandon de toute pudeur. Bien plus que lorsqu’il était seul à me voir. Mais un vent de liberté me souffle de profiter du moment présent.
Qui me regarde, qui me voit et voit la profondeur de mon âme. ? Qui assiste au spectacle de cette jeune bourgeoise s’abandonnant à ce point ? J’ai envie de pleurer et en même temps de jouir.
Je pense à mon mari et ce que je suis en train de faire, mais le désir d’être possédée par cet homme est toujours aussi fort. Plus fort que toutes les règles de fidélités promises par le mariage. Je suis venue pour cela. Je veux le laisser faire.
Mon désir est un mélange de dépendance amoureuse et de sexe. J’imagine qu’il en est de même pour lui ; comme sous l’influence d’une ...