Un invité
Datte: 25/08/2024,
Catégories:
fhh,
hagé,
extracon,
inconnu,
handicap,
fsoumise,
humilié(e),
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
fdanus,
exercice,
dominatio,
Auteur: Effrontee, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents :
Chantal, bourgeoise bien dans sa vie, est amenée à faire la lecture à un homme âgé malvoyant. Très vite troublée par l’handicap du vieil homme, elle se prend au jeu de libérer sa libido. Les séances sont détournées de leur objectif et la jeune femme tombe sous l’emprise de cet homme manipulateur et de la nature du vécu érotique, jusqu’à en perdre son libre arbitre.
À peine ai-je raccroché que mon cerveau commence à s’emballer. Mille questions dont beaucoup sont encore sans réponses. C’est un fait : je suis tiraillée entre assouvir mes pulsions de sexe découvertes avec cet homme qui m‘enivre, mes devoirs d’épouse jusqu’alors fidèle, la morale que m’ont inculquée mes parents et enfin, et peut-être surtout, l’image que je veux avoir de moi-même. Une certitude tout cela me perturbe au point de m’ôter tout libre arbitre.
Devant lui, je ne me sens pas la force de lui résister même si des réactions de défiance me poussent à réagir. Mon mari est totalement absent dans mes pensées quand je suis avec celui qui apparaît de plus en plus comme un amant. C’est au retour à la maison que surgissent les quelques remords qui peuvent m’accabler. Mais ce qui me rassure c’est l’amour qui nous unit que je ne sens pas en danger. Comme si j’avais la certitude de ne pas pouvoir le perdre.
Comment en suis-je arrivée là ? Cet homme (je me rends compte que je ne l’ai jamais appelé par son prénom) n‘a rien d’un séducteur, il est âgé et les marques des ...
... années ne l’ont pas épargné. Est-ce son handicap qui me fait perdre la tête ? Pouvoir m’exhiber en toute impunité aux yeux (!) de mon mari, de ma famille, de moi même ? C’est stupide, pourtant de vouloir s’exhiber sans être vue ? Quoique le simple risque d’être vue est excitant, non ?
Son regard mort inhibe-t-il les remparts de défense de mes principes moraux, les refoulant dans l’inconscient de mon cerveau primitif ? C’est épouvantable comme idée, une sorte de dédoublement de ma personnalité.
Suis-je condamnée à vivre sous sa domination ? Pourtant, je sens naître en moi lentement un fond de volonté, une faible lueur d’espoir d’échapper à son emprise pour me retrouver. Comme cette une voix au fond de moi qui me souffle :cesse ces « Monsieur » de femme soumise, tutoie-le et appelle-le par son prénom.
Et puis subitement, je balaie toutes ces résolutions, car l’envie de le retrouver devient prégnante.
Je me lève et je file dans la salle de bain m’assurer que les signes de mes frasques sexuelles de la veille ont disparu. Ouf ! J’ai bien récupéré et cela me rassure. Je vais me faire belle, très belle.
J’interroge le salon de coiffure qui accepte de me prendre à 12 h 30. Juste ce qu’il faut. Pas le temps de soins du corps ; ma chatte, que je vérifie dans le miroir de ma chambre, est encore bien visible et dégagée à l’orée de ma toison soigneusement peignée. Ses grandes lèvres bien lisses, ont cette délicate couleur caramel au lait et dedans, point le rouge carlin de mon ...