1. La bonne Josette...


    Datte: 23/08/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... foutre, jusqu‘à sortir de son antre pourtant très accueillant. J’en profitais pour taquiner son anus.
    
    - Oh ! Que j’aime ça, c’est bon ! Lâchait-elle.
    
    Encourager je lui enfonçais mon doigt plus profondément, tandis qu’elle gémissait sous l’introduction.
    
    - Oui ! Oui ! Plus loin, continue ! Enfonce oui ! Enfonce encore !
    
    Je pris l’initiative de la branler avec le même doigt. Puis avec deux, tant le trou s’évasé. Elle fut très vite regagner d’un nouvel orgasme. Dans son plaisir, elle s‘était raidie, tendant les jambes, remuant des hanches. Quelle sensation magnifique pour moi !
    
    - Ça fait bien longtemps que je n’ai pas joui autant que ça avec des hommes. Laissait-elle tomber. Qu’est-ce qui te ferait plaisir, dis-moi ? Ajoutait-elle, je te dois bien ça, tu veux que je te suce.
    
    - Non !
    
    - Cela ne me dérange pas ! Vas-y mon chéri, je suis prête à tout ce soir !
    
    - J’aimerai bien te la mettre dans le cul.
    
    - Là tu vois tu deviens exigeant. C’est qu’elle est grosse ta chose.
    
    - Pas plus épaisse que les deux doigts.
    
    - Montre-moi la un peu mieux !
    
    - Mais... Elle est toute dure ! Fit-elle en la saisissant.
    
    - Je te promets de ne pas te faire mal.
    
    - Bon ! Je compte sur toi pour cela !
    
    Je pris ma verge et la fis monter et descendre le long de sa raie plusieurs fois, puis je lui caressais la raie du cul avec mon gland, écartant une fesse avec l’autre main. Tout de suite après, je plaçais mon gland contre son anus. C’est alors que sa fleur se déplia et ...
    ... s’ouvrit au milieu de ses poils. Il béait ! Je me demandais si elle n’allait pas chier devant moi tant elle poussait.
    
    Je donnais un coup de rein assez fort pour que mon gland disparu dans son cul. Je regardais, pas avec un grand frisson, ma bite s’enfoncer lentement dans son anus. Sa rondelle se dilatait formant une bague autour de ma verge. Je poussais encore pour m’enfoncer plus profondément en elle, jusqu’aux couilles.
    
    - Aiiiiie ! Va doucement mon chéri.
    
    - Excuse-moi, c’est que j’en avais tellement envie.
    
    -Oui ! Mais quand même !
    
    Je la pris par les hanches et je commençais à aller et venir. Elle venait de tant à autre d’elle-même sur un sexe. Elle semblait dans un état second, elle transpirait, tremblait, ne se contrôlait plus. Elle ne se souciait plus de rien. Nous étions tous deux, des bêtes avides de plaisirs, s’amenant mutuellement à la jouissance, devant les yeux témoins de Bruno, spectateur privilégié.
    
    De la bouche de Josette sortait un grondement sourd presque effrayant. Je donnais des coups de reins de plus en plus puissants, à en perdre le souffle. Le regard de Juliette était étrangement trouble et elle haletait fortement. Avec un râle haché je me laissais emporter par une jouissance fulgurante. Mon pénis envoya ses longues giclées de jouissance. Pendant un long moment, je restais immobile, alanguie par la puissance de l’orgasme.
    
    Nous avions quitté Josette le lendemain matin, après l’avoir pris debout. Chacun sa queue dans un orifice ; et cela ...