La bonne Josette...
Datte: 23/08/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
- Un peu de crémant Josette ?
Elle secoua la tête. Cachant son trouble.
- Je pense avoir déjà bien bu. Il faut que je rentre ! Me fit-elle.
- Allons, Josette, encore un dernier verre.
Elle se plia de bonne grâce et tendit son verre pour que je l’emplisse. Nous trinquâmes.
- J’aime tout ce soir ! Me lançait-elle.
- À oui ! Vraiment tout ?
- Tout t’dit !
Nous rîmes tout les trois, avec Bruno mon collègue et vidâmes nos verres.
Au fil de la conversation, les joues de Josette se coloraient de plus en plus. Dès lors Bruno ne lui laissait pas son verre désemplir. Et le crémant la rendait de plus en plus euphorique.
- Il est bon ? lui lançais-je.
- Oui, comme j’l’aime. Très pétillant… laissait-elle tomber.
Elle se souleva de sa chaise pour se saisir de la bouteille, d’un geste rendu gauche par l’ivresse. Quand elle se rassit, j’en avais profité pour glisser ma main sur sa chaise. Cela la fit rire.
- Alain… tu es un petit cochon… - Tu n’aimes pas les cochons ? Répondais-je sans pour autant retiré ma main au chaud sous son postérieur.
- Oh ! Tout tourne autour de moi. Répliquait-elle.
Grâce à mes doigts fureteurs, j’avais pu franchir l’obstacle culotte. Je me mis à fouiller son pubis, que je sentis très fournie. Tout ce que j’aimais. Tout ce qui me faisait perdre les pétales. Alors à l’aveuglette je dénichais la fente. Moite ! Je n’eux d’ailleurs aucun mal à y faire disparaître mon index. L’introduction la surpris, au point que ses yeux ...
... s’arrondirent. Elle garda le silence, seulement trahit par son souffle rapide. Je profitais de sa détresse pour échanger un regard complice avec mon collègue.
- Alors Josette ? Que penses-tu du cochon en question ?
Elle gloussa sans répondre. Je profitais lâchement de sa soumission pour la trousser, retroussant sa jupe sur ses reins, révélant ainsi son postérieur charnu. Aux fesses laiteuses, avec ça, une raie profonde d’où s’échappait des crins souples. Sans aucune gêne je me mis à malaxer ses fesses, lui tenant des propos à faire rougir une pute. Ce qui ne l’empêchait pas de rire aux éclats.
Je la fis mettre en position afin de m’accroupir derrière elle. Dans cette position, jambes tendues, reins creusés, sa croupe paraissait encore plus volumineuse. Avec mes deux mains, j’écartais les deux joues jumelles, entrouvrant le sillon tapissé de poils frisottés qui couvraient l’anus.
Sa seule défense fut de rire, tellement l’alcool avait le dessus sur elle.
- J’aime les cochons… oh oui que j’aime les cochons… - Ça tombe bien… je suis né cochon… Je me penchais pour m’enivrer de l’odeur forte qui s’en dégageait. Un parfum de fauve. Je m’en approchais encore, jusqu’à enfouir mon nez dans la raie velue, et avec le bout de ma langue, agaçait les lèvres du. Elle était aux anges et le fit savoir. Alors je me mis à lui lécher sa foufoune et plus haut son anus au gout amer.
Quand je la retournais plusieurs minutes plus tard, ce fut pour la pousser à s’allonger docilement sur ...