1. Maman, Juliette et Moi 05


    Datte: 20/08/2024, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: bycolibri1172001, Source: Literotica

    ... lèvres pincées et qui pourtant était, à mon avis, moins sûre d'elle qu'il n'y paraissait. En tout cas, entre elles deux, c'était clairement ma sœur qui avait les drôles d'idées.
    
    Je travaillais dans ma chambre sur la division cellulaire, quand Juliette m'appela au salon. Il était 16 h et les filles avaient prévu un goûter. Édith avait apporté un cake aux fruits et Juliette avait préparé le thé. Elle me demanda d'aller chercher le tout à la cuisine et me proposa de partager le gâteau avec elles. Édith m'avait regardé d'une drôle de façon et j'avais même cru avoir une trace de saleté sur le visage ou avoir oublié de fermer ma braguette tant elle eut bien du mal à cacher le dégoût que je lui inspirais.
    
    Je revins de la cuisine avec un plateau chargé de tasses et d'assiettes et me mis naturellement à servir ces dames.
    
    -- Tu me disais, commença Juliette en s'adressant directement à Édith, que ton frère t'embête, qu'il est grossier avec toi.
    
    Philippe, du même âge que moi, fréquentait une classe voisine. À la réaction peu spontanée d'Édith, je compris que ma sœur avait une idée derrière la tête et que les deux amies avaient sans doute longuement parlé avant mon arrivée.
    
    -- Oui, répondit-elle, il n'arrête pas de se balader à moitié nu, de se frotter contre moi et de me toucher les seins ou les fesses, soi-disant sans le faire exprès.
    
    - Tu étais comme ça, mon frérot chéri? me demanda Juliette.
    
    Je rougis et n'eus pas le temps de répondre qu'elle continua ses ...
    ... explications en détaillant l'achat d'une cage de chasteté par notre mère et la pose de l'engin pour contenir ma lubricité. J'étais devenu pivoine et n'osais pas regarder Édith. Cette fille était un peu mince à mon goût, mais j'aimais bien son côté froid, hiératique, distancié.
    
    - Tu veux voir à quoi ça ressemble? lui demanda Juliette.
    
    Sans blanc dans la conversation, elles se tournèrent toutes les deux vers moi comme si mon consentement tenait de l'évidence. J'étais encore une fois gêné et excité. Chez moi, l'un n'allait pas sans l'autre. Je me mis debout, hésitai un instant, puis, sur un signe de Juliette, j'ouvris ma braguette et quittai mon jean. Ce simple mouvement généra quelques bruits de ferraille du côté de mon entrejambe. Juliette et surtout Édith avaient les yeux vrillés sur mon caleçon que je fis descendre sans attendre. Ma queue était là gonflée de désir, pliée sur elle-même par la cage métallique. Mes couilles dures et bombées par ma libido formaient comme un coussin sur lequel reposait l'étui d'acier. Juliette me demanda de me rapprocher et prit ma bite en main pour montrer à son amie l'ensemble du dispositif. Édith, un peu timide au début, fit de même, soupesa ma queue avant de passer les doigts sur mes couilles. Je gémis de plaisir.
    
    - Ça ne lui fait pas mal? demanda Édith.
    
    À l'évidence, mon avis comptait peu, car ce fut Juliette qui expliqua que pas du tout, que j'adorais ça, qu'elle disposait d'un moyen simple de me calmer qu'elle lui montrerait plus tard. ...
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