1. Maman, Juliette et Moi 05


    Datte: 20/08/2024, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: bycolibri1172001, Source: Literotica

    Chapitre 5
    
    Le début de semaine fut assez morne. La cage de chasteté que je portais nuit et jour me gênait beaucoup. Maman me l'enlevait le soir pour me donner ma douche toujours aussi humiliante. Systématiquement, ma sœur Juliette assistait au spectacle et ma mère l'avait encouragée à apprendre à me traire. De toute façon, Juliette me faisait la gueule depuis le dimanche de sa punition. Elle devait croire que j'y étais pour quelque chose.
    
    Ainsi, le lundi et le mardi, je me retrouvai dans la salle de bains pour le toilettage. Je me mis nu devant les deux femmes habillées qui se moquèrent bien de ma queue dure pliée sur elle-même par le filet d'acier qui l'enserrait. Maman enleva la cage de chasteté avec la petite clé qu'elle portait en sautoir entre ses deux gros seins. Je rêvais tant de les revoir maintenant qu'elle les tenait cachés! Juliette me lava le devant du corps en insistant lourdement et sans douceur sur ma bite et mes couilles. Puis maman s'occupa de l'arrière, m'écartant les fesses et me régalant de quelques claques sonores, car mon cul était un peu sale à son goût. Chaque fois, elle râla contre les poils qui l'empêchaient de bien inspecter l'ensemble de mon corps. Puis elle se mit sur le côté et proposa à Juliette de me traire avant de réinstaller la cage.
    
    Avec tout le savon dont j'étais inondé, ma sœur n'eut aucun mal à faire pénétrer son index puis son majeur dans mon anus. Je ne pus retenir mes cris de plaisir et les deux femmes, une fois encore, ...
    ... insistèrent sur mon côté soumis et mon envie d'être pris par le cul. Puis, suivant les conseils de maman, Juliette se mit à aller et venir entre mes fesses en me massant l'intérieur du colon. Elle fit ainsi juter mon sperme pâle qui s'écoula en grandes quantités comme si l'on avait vidé une brique de lait. Je bandai comme un fou, mais n'eus pas le droit de toucher ma queue et ne pus réellement jouir. C'était terriblement frustrant, car mon sexe se rétrécit dès que le bon jus en fut sorti, mais dans ma tête à moi, il ne s'était rien passé. Une fois mes couilles vidées, maman remit la cage en place et je dus aller me coucher affublé de cette chose.
    
    Au lycée, je me déplaçais très lentement, terrorisé à l'idée qu'on put entendre les légers cliquetis que produisait l'engin de torture quand je marchais. Heureusement, personne ne semblait y faire attention. Mon seul réconfort était de suivre Juliette lorsque nous fréquentions le même couloir à la même heure. Maman l'avait obligée à porter ces éternelles mini-jupes — en l'occurrence la plus courte — et, pour qui savait regarder, les traces de la punition qu'elle avait reçue le dimanche étaient évidentes.
    
    Le mercredi, notre mère travaillait à l'extérieur et je devais m'appliquer à mes devoirs, car elle m'avait promis une surprise si je réussissais le contrôle de SVT du vendredi. Juliette, elle, avait eu le droit d'inviter Édith, sa meilleure amie du lycée. C'était une grande blonde mince, à la longue queue de cheval stricte, aux ...
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