1. Trois mois après – Mi octobre


    Datte: 18/08/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Maceran, Source: Hds

    ... elle s’était quand même levée et avait fait le café. Elle m’attendait pour boire le café, et avait, juste passé un tablier. Ce qui était assez excitant. En la quittant, je pus la caresser tout mon saoul, ce qui lui fit plaisir : « J’ai bien fait de mettre ce tablier, … oui, j’aime que tu e caresses, … ça me donne des envies, … pars, … avant que je te saute dessus, … je vais me préparer pour te recevoir dignement à midi, … »Moi : « Vas chez le chinois pour commander le déjeuner, … à tout à l’heure, … »La matinée passa rapidement dans la mesure où j’ai eu beaucoup de travail. Mais midi arrivant je filais à l’appart, d’abord pour revoir Stéphanie que j’aimais bien, disons que j’appréciais beaucoup, certes elle était belle, mais elle était franche et question sexe et ses plaisirs elle appréciait et surtout elle était gourmande de la chose. Alors que j’étais j’allais ouvrir la porte, celle-ci me fut ouverte et Stéphanie était là vêtue du tablier de cuisine et me tendant les bras : « Je me suis préparée pour toi et j’espère que cette tenue te plait, … (et en riant) je n’ai mis ni bas, ni escarpins, … cela aurait été trop habillé, ... embrasses moi, … » et elle était dans mes bras, et alors que mes mains profitaient de sa presque complète nudité. Caressant son dos ses fesses, il s’en suivit une partie de lèche museau ainsi qu’un genre de dans du bassin, ce qui eut pour effet de créer une certaine protubérance dans mon anatomie. Ce qui fit dire à Stéphanie : « Tiens, je suis ...
    ... heureuse, …je sens que tu es en forme, … viens on va manger, … » et on se dirigea vers la cuisine, car elle dit : « J’ai tout préparé là-bas, … », la voyant, devant moi, tortiller sa jolie paire de fesses, « popol » m’indiqua que ce n’était pas là-bas qu’il fallait aller.
    
    Moi : « Avant de déjeuner on va prendre l’apéritif, … direction la salle de séjour, … » Demi-tour, par courtoisie, je laissais le passage à Stéphanie ce qui me permit de profiter encore du spectacle de son adorable fessier. Avant d’arriver dans la salle de séjour, je défaisais la ceinture du tablier qui s’ouvrit entièrement, et Stéphanie le rejeta au loin. Arrivé dans la salle de séjour, Stéphanie se tourna : « A moi de m’occuper de toi, … » et elle enleva ma chemise et rabattit pantalon et caleçon, pour enfin s’accroupir et s’occuper de « popol » doigts, langue, lèvres, bouche tout fut utiliser pour que ma bite se dresse dur et prête à son gout, alors se relevant, elle se tourna et prenant appui sur la table, fit jaillir son joli cul en disant : « Je me suis préparé pour toi, … viens, prends moi, … » je n’avais plus qu’à m’exécuter, alors qu’une main apparaissait entre ses cuisses, qui me prit et me guida vers et dans sa chatte : « Commences par t’occuper de ma chatte, … je mouille, … baises moi, … quand je serais prête, … tout sera à toi, … » Ainsi bien enfoncé dans sa grotte d’amour, chaude et mouillée à souhait, je coulissais aisément dans son fourreau et serait bien allé jusqu’au bout quand elle dit : « Oui, ...
«12...5678»