Trois mois après – Mi octobre
Datte: 18/08/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Maceran, Source: Hds
... arrivant sur ses seins, je m’empressais de les prendre en bouche et surtout de gouter aux tétons qui ne demandaient que ça, et, leur propriétaire de râler gentiment : « Oh, Jean, … arrêtes, tu vas finir par me rendre folle, … oh c’est bon, … t’as gagné continues, … » Enfin me redressant, j’avais la bite à la hauteur de sa bouche et de lui dire : « Suces moi, … dis-moi si je suis comme tu aimes, … que je te prenne, … je suis sûr que tu en as envie, … tiens c’est à toi, … » et prenant ma queue en main : « Tu exagères, … » et commençant pas me caresser les boules, elle entreprit de me lécher la tige à grands coups de langue : « J’aime quand tu es dur, …je vais te gouter, … tu as réussi, j’ai envie de toi, … j’ai envie que tu me prennes, … que tu me montes dessus, … ça fait longtemps, … » puis elle me prit en bouche et commença à me pomper avec ardeur à tel point que je dus l’arrêter, sinon je n’aurais pas tenu la distance et m’arrachant de la douceur de sa bouche, elfe se retourna et se mettant en levrette : « C’est à toi, …prends moi, … comme j’aime, …baises moi, … baises moi fort, … je suis à toi, … rentres doucement que je te sentes rentrer, …» Je bandais dur et je l’aurais volontiers pénétré d’un seul et bon coup de rein, mais à sa demande je la pénétrais aussi lentement que possible et j’en eus grand mérite : « OH, … c’est bon, … je te sens bien me remplir, … oui c’est bon, … » mais j’avais fait au mieux et me retirant je la re- pénétrais d’un grand coup de rein et ...
... cramponné à sas hanches je la ramonais à grands coups de reins. Me souvenant de son goût pour quelques claques sur les fesses, j’y allais d’une sur la fesse droite, se qui la fit réagir : « Salaud, … c’est bon, … encore, … » et re sur la fesse gauche : « Oh Oui, … j’aime, … continues, …oui, … j’aime être à toi, … être ta femelle, … OOOHHH, … ne t’arrêtes pas, … oui, continues, … je sens, … OOOHHH, … OUIIII, … OUIII, … » elle était partie, accrochée à son oreiller, le cul bien en arrière, elle fut saisie d’un spasme qui la fit se contracter, mais si elle était en train de jouir, pour ma part, je bandais toujours aussi dur et cramponné à ses hanches je continuais à la ramoner et elle : « Arrêtes Jean, … tu m’épuises, … je ne peux plus, … arrêtes, … c’est pas vrai, … OOOHHH, … OUIII, … » alors bien enfoncé dans sa grotte d’amour, je me vidais dans son fourreau chaud, elle se mit à jouir de nouveau et fut secouée d’un gentil spasme. Là, vidé, je m’affalais à côté d’elle pour récupérer et elle revenant contre moi : « Horrible monstre, … tu vas me tuer, … c’était bon, … j’ai aimé, … tu m’as fait jouir, …Oh oui, … et toi, … je pense que tu as aimé, … » Elle se retourna et l’un contre l’autre on s’endormit.
o Le lendemain matin Cinq heures trente, le réveil me rappela à la dure réalité du travailleur. Alors que Stéphanie semblait vouloir se lever, je lui dis : « Restes à dormir, ... je prends la douche, le café et je pars, … on se retrouve à midi ici, … » Tout se passa comme prévu, mais ...