Le balcon de Valentine
Datte: 15/08/2024,
Catégories:
f,
h,
fbi,
hplusag,
fépilée,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
ffontaine,
Masturbation
intermast,
fsodo,
jouet,
init,
mast,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... voir votre cul !
C’est loin d’être un ordre, et l’obéissance qu’il attend ne traduit que son désir pour elle. Elle le comprend parfaitement, et obéit aussitôt à l’homme, allant jusqu’à laisser ses doigts tirer sur la chair ferme de l’une de ses fesses.
— Enfin, je le vois ! Petit œillet si délicat. L’intérieur de vos fesses n’a pas pris le soleil. Que c’est excitant ! Cette peau laiteuse, contrastant avec le doré de votre corps. Comme si j’étais le seul à me délecter de cet endroit secret. Une très excitante preuve que vous m’offrez la partie la plus intime de votre personne.
Un long silence suit le petit discours. Uniquement troublé par la respiration désordonnée, et les soupirs de la femme. Puis, la voix de l’homme, soudain voilée, le rompt.
— Savez-vous que votre rosette est mouillée ? Vous avez coulé sur votre tendre rondelle. Massez-la du doigt !
— Je ne suis pas prête…
Un lourd soupir suivi d’une douce plainte qui dément ses paroles, puis les dents de nacre de la femme mordent sa lèvre inférieure. Lèvre pleine et sensuelle.
— Juste une petite minute. Votre doigt massant votre œillet serré, jusqu’à ce que je le voie palpiter dans l’attente d’être ouvert. Puis, je m’en tiendrais là, c’est promis.
Sa main droite bouge lentement et elle gémit doucement. Ses doigts glissent sur sa peau, évitant de toucher à la fente impudiquement ouverte, et tapissée de liqueur onctueuse. Un majeur hésitant s’approche, reste une seconde immobile, avant de se poser ...
... sur son anus.
— Oh mon Dieu… Je suis ridicule… Vous devez me prendre pour…
— Une femme qui aime le plaisir. Vous êtes terriblement excitante… Très loin de touridicule… Maintenant… Massez doucement votre petit trou… vous me rendez fou.
La femme obéit et son doigt bouge.
— Je suis tellement mouillée…
Elle sent sa petite rosette se détendre, quand elle appuie un peu. Elle ne l’avouera pas, mais meurt d’envie d’enfoncer son doigt. Elle ne demandera rien. Pourtant, un mot de l’homme suffirait. Elle s’imagine pousser doucement, et laisser son doigt la sodomiser.
— Je déploierai des trésors de patience. Je passerai le restant de mes jours à tenter de vous convaincre, mais un jour… Un jour, vous ouvrirez votre petite rondelle. Vous la prendrez d’un doigt fébrile et impatient. Et je vous regarderai rougir de vous exposer ainsi.
— Vous me faites faire…
— N’importe quoi… je le sais et je m’en réjouis ! Me l’avouer vous excite, et vous découvrez vos envies d’être poussée aux prémices d’une jouissive soumission. Bientôt, peut-être que vous découvrirez qu’être docile et obéissante est un réel plaisir !
— Peut-être…
— Maintenant, caressez votre clitoris et jouissez, adorable petite salope !
— Oh, je… Oui… oui… Je jouis !
Elle s’étire comme une chatte se chauffant au soleil. Toujours nue, elle sirote la tasse de thé apportée par l’homme.
Non… mais je ne plaisante pas. Vraiment. J’ai honte de moi !
Il a un petit rire, et la femme le gronde sans méchanceté.
— ...