Le balcon de Valentine - Histoires de Sexe

Le balcon de Valentine

... vous comporter de cette manière empourpre vos joues, et vous rend plus désirable encore.
— Vous me rendez folle.
— Quelle adorable petite coquine vous êtes ! Comme vous êtes belle ! Je me dois donc de profiter de votre faiblesse envers moi. Relevez vos jambes lentement et montrez-moi votre intimité la plus cachée.
— Non… Une autre fois.
— Il ne m’a pas fallu longtemps, pour vous révéler votre véritable nature. Ce que vous ignoriez de vous-même, et qui vous surprend encore aujourd’hui. Regrettez-vous de m’avoir fait confiance ?
— Oh non ! Je ne regrette rien. Je le ferai une autre fois.
— Un instant ! Offrez-moi ce petit trésor… l’espace d’un instant !
— Je vous promets que je vous céderai. Une autre fois.
— Et moi, je vous promets que vous jouirez, aussitôt mon vœu accordé. Vous jouirez de céder à cette nouvelle humiliation. Vous jouirez pour moi, sachant que vous me rendez fou de désir. J’attends, très chère !

La jeune femme reste un instant immobile puis ses jambes se lèvent lentement.

— Encore un effort… Ravalez votre honte. Plus haut… Écartez vos jolies cuisses dorées. Vous êtes si troublante ! Partagée entre votre envie de me céder, pour votre propre plaisir, tout en vous sentant humiliée de le faire. Vous ne vous saviez pas capable de vous comporter ainsi bien sûr. Ai-je raison ?

Un long soupir, et la femme s’écarte plus encore, relevant plus haut ses petits pieds aux ongles manucurés de rose nacré, ses mains soutenant ses cuisses.

— Je découvre tant ...

... de choses…
— Vous découvrez que vous êtes une charmante coquine.
— Oui.
— Et vous aimeriez l’être plus encore parfois. Ne le niez pas ! Si j’osais, j’emploierais maintenant d’autres qualificatifs.
— Dites-les !
— Une petite cochonne. Une adorable petite salope qui prend son plaisir à me rendre fou d’elle.
— C’est la première fois que vous osez me parler aussi crûment. C’est… je ne le prends pas mal… C’est vous qui me rendez ainsi.

Elle soupire longuement, rougissant sans oser lever les yeux vers l’homme qui lui procure tant de plaisir. Il ne lui parle pas, se contentant de la regarder, et cela suffit à l’affoler.

— Vous aimeriez que je vous appelle ainsi ? Lequel de ces qualificatifs préférez-vous ?

La femme ouvre les yeux. Son regard est comme voilé, mais se plante dans celui de l’homme.

— Vous les dites avec gentillesse. Je devine une sorte de respect. C’est un compliment dans votre bouche. Je préfère « salope ». « Adorable salope » est excitant à attendre.

Il sourit et hoche la tête comme pour conforter la jeune femme dans ses dires.

— Oseriez-vous me l’avouer ? Cette position, cette attente de soumission, votre envie de jouissance font de vous…
— Je… Je suis une adorable salope.
— Oh oui, vous l’êtes !

La jeune femme bouge, sa main droite remonte et elle couvre ses yeux de son avant-bras.

— Mon Dieu…
— Vous mouillez plus fort. La honte vous sied à merveille. Fermez vos beaux yeux et remettez votre main en place. Obéissez, allons ! Je veux ...