Le balcon de Valentine
Datte: 15/08/2024,
Catégories:
f,
h,
fbi,
hplusag,
fépilée,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
ffontaine,
Masturbation
intermast,
fsodo,
jouet,
init,
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Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... d’abord, elle s’était demandé comment Juliette pouvait avoir de tels comportements ? À peine plus âgée qu’elle, cette fille était assez charmante pour trouver chaussure à son pied, si elle s’en donnait la peine. Et là, elle avait profité d’un vieillard sans le moindre scrupule. Juliette la décevait, et même, la dégoûtait un peu.
Valentine pensait souvent à son amie Juliette. Il lui suffisait, pour cela, de croiser son voisin. Il était vrai que, mis à part son agacement de ne pas pouvoir vivre pleinement son intimité sur ce fameux balcon, Valentine aimait beaucoup Monsieur A. Il était agréable, serviable, et charmant avec elle. Depuis longtemps, elle ne le voyait plus comme un vieillard. Juliette avait souri, et lui avait assuré qu’un vieillard quelconque, reluquant ses fesses pendant la bronzette, ne l’aurait pas perturbée autant. Elle avait raison. Monsieur A n’était pas un vieil homme comme un autre. Au fil du temps, plus elle y réfléchissait, plus elle relativisait le comportement de Juliette. Les mots, les explications de son amie prenaient un nouveau sens.
Septembre débutait, mais restait agréable. Une fin d’après-midi ensoleillé faisait dégrafer son haut de maillot, à une Valentine désireuse de profiter d’un restant de soleil. Elle ne se posa pas même la question de savoir, si son voisin l’épiait. Le samedi suivant, Valentine déboulait entièrement nue sur sa terrasse, et s’allongeait sur sa chaise longue. Cette fois, c’était certain, Monsieur A la regarderait ...
... bronzer.
Le lendemain, la jolie brune saluait son voisin, et acceptait un rafraîchissement. Elle répondit à la question du vieil homme le plus sérieusement du monde.
— Vous êtes chez vous. Il n’y a pas de raison que je vous chasse de votre balcon. Si cela ne vous dérange pas, je souhaiterais bronzer en tenue d’Ève. Vous, vous n’êtes pas obligé de regarder. C’est un statu quo acceptable, non ?
— Je ne veux aucunement que vous vous sentiez mal à l’aise, Valentine.
— Ça ira, Monsieur A. Ça ira…
Valentine s’était octroyé une semaine de vacances bien méritées. Chaque jour, elle profitait de son balcon avec un plaisir évident. Jusqu’à cette matinée où elle s’affola un peu de sentir son sexe s’humidifier après que ses yeux aient croisé ceux de son voisin. Elle l’entendait se déplacer et ne savait réellement jamais, si Monsieur A l’épiait, ou non. L’imagination de la jolie brune se débridait.
— C’est pas possible… j’en ai envie…
Valentine osait alors écarter un peu ses jambes, fantasmant sur le fait, que peut-être, Monsieur A la regardait faire, et aimait qu’elle le fasse. Elle s’affola encore de comprendre que si Juliette était une dépravée, elles pouvaient toutes deux se tenir par la main sur le chemin tortueux de la débauche.
C’était devenu systématique. Après une séance de bronzette, où elle était entièrement nue, la jolie Valentine finissait humide de sueur, le sexe trempé, et l’esprit en ébullition.
Ludovic lisait. Ou plutôt, il tentait de lire. Il venait de ...