Le balcon de Valentine - Histoires de Sexe

Le balcon de Valentine

... bon ! J’ai envie de lécher mes doigts mouillés. Vous voulez que je le fasse ?
— Oui. Léchez vos doigts…

Les joues écarlates, j’obéis aussitôt à un Ludovic comme subjugué par ce qu’il voit.

— Salés… ils sentent ma chatte. Jaime mon odeur… mon odeur de femme m’excite. Je me caresse tous les matins ou presque… Souvent le soir… Ooh… j’aime avec trois doigts… Comme ça. Oh, c’est… Vous me donnez envie d’être salope.
— Allez-y, Juliette. Soyez salope, très chère !
— Oui… Je suis votre salope. Je le serai encore. Oh ce bruit… Les clapotis de ma mouille. Ça m’excite. Je vais venir, Ludovic. Regardez-moi jouir. Non ! Pas ma chatte… Regardez mon visage pendant que je jouis. Regardez-moi dans les yeux ! Oh, ça… Ça vient ! Je vais bientôt…

Je m’oblige à rester le regard planté dans celui de Monsieur A. Il me fixe sans un mot, ne quittant pas mes yeux, tout le temps que je gémis en attendant d’être emportée.

— Oooh ! Je viens ! Je jouis !

C’était terriblement bon ! Et je suis inassouvie. Mon corps est en nage. Des rigoles de sueurs dégoulinent de mon front. Ma couche est en bataille. Quelques mèches de cheveux collent à ma nuque.

— Je suis très excitée… C’est peut-être le bon moment pour vous, de me demander certaines choses.
— Vous êtes vraiment gourmande.
— Si ça ne vous plaît pas…
— C’était un compliment. Vous demandez quoi ? Pourriez-vous préciser ?
— Oh, Monsieur A ! Faites preuve d’imagination ! Vous demandez, et j’accepte ou refuse.

Un long silence alors ...

... que ma main caresse mes pointes de seins.

— Si vous me laissez dans cette attente… Je vais inonder cette terrasse, Monsieur A…

Mon Sean Connery personnel a un léger rire, et claque ses mains l’une contre l’autre. Une petite manie pour cacher son émotion ?

— Si j’osais… je vous demanderais de vous retourner, et de m’offrir vos fesses.
— Bien… D’accord !

Une nouvelle fois, j’obéis à ce voisin si excitant. Je ne suis pas en place, qu’il continue de m’expliquer ses désirs !

— Et… j’aimerais employer des mots plus crus. Serait-ce possible, Juliette ?
— Oui. Vous pouvez…
— Parfait… Jambes écartées, et votre cul bien cambré évidemment. Surtout, vous n’omettez pas d’écarter les charmants globes de vos fesses. Je vous ai dévoré des yeux, et votre petit trou n’a été qu’entre-aperçu. Là, je veux m’en délecter.

Je suis telle qu’il voulait que je sois, et réalise son vœu en m’ouvrant les fesses des mains.

— Je connaissais déjà son odeur et son goût, sans même l’avoir vu. Votre œillet est bien serré. Il aimerait peut-être être un peu ouvert.
— Oh, Monsieur A…
— Vous me refuseriez ce petit plaisir, chère Juliette ?
— Non… non. C’est simplement… j’ai tout de même un peu honte, là. Vous… Vous voulez que je me doigte ?

Je sens la cyprine couler sur l’intérieur de mes cuisses. Ce que vient de dire mon voisin m’excite au plus haut point.

— J’ai une autre idée ! Retournez-vous, Juliette !

Monsieur A s’est levé, et a fait quelques pas vers le muret.

Quand il ...