Le balcon de Valentine - Histoires de Sexe

Le balcon de Valentine

... étale l’épais drap de bain sur les coussins, et dépose la serviette cachant la queue en plastique, sur le carrelage du sol. Je m’installe sur la chaise longue et fixe Monsieur A en souriant.

— Je parlais de prendre mon pied en croquant dans une tartine. Que vous allez me préparer, s’il vous plaît ! Oui ?

Je m’empare de la tartine déjà prête, en le remerciant, et je croque dans le pain, tout en ouvrant mes cuisses. Je ne peux pas m’écarter plus. Je sais que je suis trempée, et gluante de cyprine épandue. Je rougis en décelant les effluves de mon sexe détrempé, repensant à ce que m’a dit mon voyeur.

— C’est très gênant… Je sens l’odeur de… Enfin, vous savez !
— Si vraiment cela vous gêne, il ne faut pas m’écouter et courir vous laver. Et si vous en éprouvez de la honte… n’est-ce pas excitant ? J’ai passé un bon moment avec vos odeurs cette nuit. Vous l’avez dit vous-même. Vous saviez que cela m’exciterait. C’est très facile ce petit jeu. Là, vous êtes avec moi et ce n’est plus aussi facile ! Je sens l’odeur un peu âcre de votre sueur. Le fumet assez fort de votre chatte, quand vous vous écartez. J’aurais pensé que vos odeurs vous plaisaient à vous aussi. Tout cela devrait vous exciter, non ?
— Elles m’excitent, oui…

Il me suffit de quelques bouchées pour me rendre compte que j’avais faim.

— Une autre, s’il vous plaît ?
— Je suis votre serviteur.

J’engloutis, plus que je ne mange, ma seconde tartine. De la myrtille macule mon sein droit et je jette un ...

... regard vers mon voisin. Lui aussi en a terminé de son pain grillé. Mon doigt pousse la myrtille sur mon téton et je m’amuse à en badigeonner la pointe de mon sein.

— Mes seins bandent…
— Je vois ça, en effet.
— J’adore sentir mes tétons durs.

Mes mains caressent mes seins avant de les presser l’un contre l’autre. Puis je remonte des doigts le globe dont la pointe est enduite de myrtille. Il me faut me pencher un peu pour la porter à mes lèvres. J’aspire mon téton, et le suce un moment, mes yeux plantés dans ceux de Monsieur A. Puis, pour ne pas faire de jaloux, je m’occupe à lécher mon autre bourgeon.

— Vous aimez mes seins, Monsieur A ?
— Ils sont adorables.

Mes tétons me font presque mal, à force de se tendre, et la chaleur au creux de mon ventre est devenue fournaise.

— Je les aurais souhaités un peu plus gros…
— Moi, j’ai toujours eu un faible pour les petites poitrines. Ce qui, je crois, n’est pas la préférence des mâles en général.
— Comme les miens ?
— Plus petits, serait plus juste. Mais les vôtres sont très agréables à regarder…
— Mes tétons sont bien dressés… J’aime beaucoup vous parler en toute impudeur, et oser vous livrer le fond de mes pensées intimes. C’est une première qui m’excite vraiment beaucoup.
— Alors, continuez, Juliette. Je vous avoue volontiers que cela me sied particulièrement. C’est également une nouvelle expérience pour moi. Et pourtant…
— Vous en avez vu de toutes les couleurs…
— Tout à fait, très chère. Tout à fait !

Le ...