La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1623)
Datte: 14/08/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... posé sur le bout de mes couilles sortant de ces ballstrechers. Markus souriait vicieusement en me regardant droit dans les yeux. Testait-il une nouvelle fois ma capacité à tenir bon, à ne pas refermer mes jambes, à ne pas tenter à fuir cette douleur écrasante irradiant mes entrailles. Je le laissais agir sans ciller cette fois-ci, je restais impassible sous cette nouvelle attaque, n’ayant que pour seul désir de rester cette chienne veule et parfaitement soumise.
- A genoux petite merde !, m’ordonnait-il.
Sitôt dans la posture ordonnée, Markus me détachait les mains, puis ce fut à son tour de me donner une gifle, ensuite une seconde plus appuyée celle-ci, et une troisième plus dense encore, une quatrième…. Jusqu’à une dixième. Je ne comprenais pas, ne cherchais pas à comprendre d’ailleurs, j’encaissais ces baffes qui allaient crescendo…
- Tu n’es qu’une merde, quelque chose de repoussant à voir. Ta seule interaction avec un autre membre de ton espèce doit être la soumission, l’obéissance et le goût de l’ordre bien accompli.
Une onzième gifle me sonnait véritablement, je tombais, m’affalais sur le matelas.
- En levrette, dépêche-toi, la putain de service… attrape ton cul, écarte ton fion de sale catin… Adrien va arriver... Il a peu de temps… Il faut que tu sois prêt à l’emploi, il va te baiser comme une chienne, à la hussarde !
Markus crachait sur ma rondelle offerte, ses doigts étalaient sa salive sans me pénétrer. Au contact de cette main baladeuse, ma ...
... nouille doucement durcissait. Evidemment Markus s’en apercevait :
- Tu vois bâtard, ton corps connait sa place, tu ferais bien de toujours l’écouter…
A cet instant, je percevais un courant d’air froid derrière moi. Quelqu’un venait d’entrer ici, sans doute celui se prénommant Adrien. Je l’entendais se déshabiller, ôtant un à un chacun de ses vêtements. Une main fraiche caressait mon cul, puis un doigt pénétrait mon entée. Peu après, je sentais le matelas ondulé alors que cet individu s’agenouillait dans mon dos. Je sentais sa grosse bite lourde et déjà bandée se poser dans ma raie, puis son gland venir titiller ma corole flétrie. Alors sans aucun préambule, il me pénétrait d’un coup sec, puissant, rapide, s’enfonçant jusqu’à la garde d’un seul coup, claquant ses couilles contre mon cul. Je poussais alors un cri étouffé, mes muscles se bandaient, mon ventre se contractait, alors que lui me laminait, me bourrait, me broyait en s’agrippant fermement à mes hanches. Il grognait, je sentais son souffle rauque dans mon dos, j’entendais ses petits grognements de mâle en rut, je sentais ses mains puissantes me maintenir par les hanches et me tirer vers lui avec force. Il me baisait, me baisait avec force, me baisait encore avec frénésie, frappant mes fesses par des coups de masse de ses hanches musclées. Il continuait à me péter le cul, une saillie inhumaine, pas même bestiale, quelque chose de violent et d’humiliant, sans aucune considération pour la préservation de l’intégrité de ...