La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1623)
Datte: 14/08/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... pour donner du plaisir à ceux qui daignent me saillir, je dois leur servir de vide-couilles, je ne suis là uniquement pour être utilisé, pour les jouissances des Dominants, je suis leur objet sexuel, leur chose, leur esclave docile et offert à tous leurs vices… Et en cela, je suis à ma place, la seule à laquelle j’ai droit, c’est mon unique raison d’être …
Rémy, maintenant à genoux, essuyait le bout de son sexe gluant, couvert de sécrétions avec son slip, puis épongeait avec celui-ci, mon foutre posé contre son abdomen et lorsqu’il eut fini, il m’ordonnait :
- Ouvre ta petite gueule de pute…. Ta langue et ta bouche vont surement apprécier les émanations de mon sous-vêtement. Il faut que tu apprennes à apprécier les odeurs de Mâles, les vrais relents de Mâles Dominants mélangées à ton foutre de chien…
J’obéissais. Rémy me fourrait son slip souillé, dans ma bouche grande ouverte alors que Markus, jusqu’ici discret, enrubannait mon orifice buccal d’une bande adhésive en faisant trois tours autour de ma tête. Puis il décidait de m’attacher les mains dans le dos avec une paire de menottes en acier. De la pointe de sa chaussure sous mon épaule, il me faisait rebasculer sur le dos et me laissait là, dans l’avilissement le plus complet. Plusieurs flashes se succédaient dans mon esprit, des parts de mon âme qui me rappelaient mes anciennes ambitions de devenir un jeune homme brillant, rayonnant de succès après des études supérieures plutôt élogieuses. Pourtant j’étais là, ...
... nu, asservi, vivant l’infâme, le détestable, sur cet ignoble matelas posé à même le sol. Je me souvenais de mon enfance heureuse, élevé dans une famille bourgeoise, manquant de rien et encore moins d’argent, pourtant je gisais maintenant dans le dénuement total, sans cesse humilié et rabaissé, avec un slip dégueulasse enfoncé dans ma bouche enrubannée. Je me souvenais aussi de ces instants d’amour maternelle et paternel, chouchouté, câliné, dorloté pourtant je n’étais plus aujourd’hui qu’une chose calomniée, dénaturée, quasiment déshumanisée, souillée et n’ayant d’autres ambitions que celle-ci, d’être ainsi cette chose justement…
Présentement, mes pensées s’égaraient encore, je me voyais alors adolescent lire en cachette, deux livres trouvés dans la bibliothèque de mes parents : Les 120 journées de Sodome du Marquis de Sade (et j’étais loin d’imaginer, à l’époque, que je suivrais les traces de cet illustre écrivain via le Château de Monsieur le Marquis et de Son aïeul et ami de Sade) et Histoire d’O de Pauline Réage… Combien ces deux ouvrages m’avaient excité, m’imaginant à la place de ces soumises et soumis. Combien de fois m’étais-je masturbé en les lisant ? Etaient-ce les signes avant-coureurs de mon besoin de soumission ? A cette époque, je ne me doutais pas que je vivrais ainsi, comme les protagonistes de ces deux romans, totalement corrompu, aux pieds de deux pervers sexuels, me débauchant et me dépravant sans cesse… Je sortais de mes songes brutalement, avec un pied ...