Weekend à la montagne - Épisode 8 - Suspendu...
Datte: 17/07/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Primaq69, Source: Hds
... dans la chambre, le peignoir voletant derrière elle. Je regardais Léa pour essayer de deviner à quelle sauce j’allais être mangé mais elle me signifia d’un haussement d’épaule qu’elle aussi n’était pas dans la confidence.
Pauline revint 5 min plus tard, les bras chargés.
Elle commença par m’installer un bâillon composé d’un appendice qui m’envahissais complètement la bouche. Pas bon signe ça, c’était le genre de jouet qu’on utilisait habituellement pour couvrir les gémissements de situations particulièrement contraignantes.
Elle m’attacha ensuite chaque cheville à une corde distincte, et fit de même en m’enserrant les testicules. Elle se posta devant moi, l’air très fière, un cadenas et un sex-toy que je n’avais jamais vu à la main.
- « C’est ma surprise pour ce weekend, une nouveauté rien que pour toi ».
Il s’agissait d’un objet en forme de plug métallique nervuré, mais composés de plusieurs lames repliées les unes à côté des autres. Sur la base, une petite molette finie par une boucle.
- « Je l’appelle ma « fleur », je te l’offre ».
Et sous mes yeux qui s’agrandissait, elle fit tourner la molette. A chaque incrémentation, les lames incurvées qui composaient l’objet s’ouvrait, un peu comme une fleur. Après avoir fait ça démonstration ou les lames finissaient grande ouverte à un angle à 45° par rapport à la base, elle le referma, me sourit et se glissa derrière moi.
Je couinais ouvertement sous mon bâillon pour lui demander pitié pendant qu’elle me ...
... lubrifiait l’anus et le préparait avec ses doigts. Elle était collée dans mon dos, sa langue se promenant sur mon oreille encore humide. Elle introduit facilement le plug et commença à tourner la molette. Je couinais plus fort, de peur car je ne sentais pas encore grand-chose.
- « ta gueule, il n’y a rien que tu puisses dire ou faire qui changera la situation. Pas de safe word. Tu peux te morfondre, gémir, essayer de crier, me jeter des regards suppliants, pleurer, ça n’y changera rien, tu n’auras de pitié de la part d’aucune d’entre nous. Tu pendras du plafond pendant 5 minutes ou 5 heures, aucun moyen de savoir… »
Et elle tournait, inexorablement. J’étais tiraillé de l’intérieur, je criais sous dans mon bâillon, ma bave coulant sur mon torse.
Puis j’entendis le clic du cadenas. Ce plug ne bougerait plus tant qu’elle n’en aurait pas décidé autrement.
- « Vas-y, lève le drapeau ! »
Et je commençais à m’élever dans la pièce, suspendu par les bras.
Lorsque mes pieds pendaient à environ 1m50 du sol, que j’étais à mi-chemin entre plafond et plancher, je m’immobilisais. Léa avec verrouillé la corde.
Je pensais que la situation allait s’arrêter là. Mais non bien sûr. Leur sadisme n’avait pas de limite.
Pauline pris un bout de corde qui pendait d’une de mes chevilles, et l’attacha à un coin de la pièce. Elle fit de même avec l’autre, m’écartelant au maximum.
- « Maintenant, la partie un peu plus difficile »
Maintenant c’était difficile ???
Pauline pris ...