Weekend à la montagne - Épisode 8 - Suspendu...
Datte: 17/07/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Primaq69, Source: Hds
... »
Question de Pauline, qui me caressait la cuisse du bout du doigt.
- « Oui oui, je récupère comme je peux… »
Bonne réponse champion, temporise !
- « Encore en train de récupéré ?? Dis donc, tu veux pas qu’on te laisse la pour le reste du weekend non plus ? »
Léa, toujours aussi délicate et attentionnée dans son rôle de dominante.
- « Bin faut quand même avoué que c’était intense ! Tu semblais penser la même chose il y a pas si longtemps d’ailleurs ! »
J’ai tout de suite réalisé que j’avais fait une erreur. Au moment même où les mots sortaient, je réalisais que chacun d’eux risquaient de me coûter. Mais trop tard.
D’un regard entendu, les deux filles se saisir fermement de mon testicule la plus proche. Je me figeais sur place.
- « Dis donc » me dit Pauline d’une voix dure comme la roche, tout en serrant graduellement son poing, « tu sembles oublié un peu le thème du weekend. Oui, j’ai été soumise ce matin. Léa cette après-midi. Mais à aucun moment ça n’a changé ta situation. A aucun moment nous n’avons été ton égale, c’est clair ? Oui on t’a accordé une pause pour que tu te remettes. Tu crois que ça change ton statut ? donc tu nous appelles maitresses. Tu nous vouvoies. Tu baisses les yeux. Et tu lui parle avec un peu de putain de respect c’est clair ? »
Limpide. Eussiez-vous la générosité dans votre incommensurable mansuétude de me libérer les couilles, Ô divine princesse de mon cœur, au nom de notre descendance éventuelle future ? sans vouloir ...
... vous importuner cela va sans dire.
- « Oui maîtresses, pardonnez-moi maitresse Léa »
Quel homme fier, j’en ressors la tête haute.
Enfin, je me prends rapidement un taquet à l’arrière de la fameuse tête en réalité baissée.
- « C’est « je vous demande pardon » pas « pardonnez-moi », tu me donne pas d’ordre. Sors de l’eau ! »
C’est donc tout penaud que je suis sorti du jacuzzi, les mains toujours attachées, la bite toujours encagés, le capital « gentillesse et générosité » de mes maitresses épuisé.
Les deux filles enfilèrent chacun un peignoir, avant de prendre le bout de corde humide qui pendouillait devant moi.
Elles me guidèrent par ma longe jusqu’au salon, immense pièce avec poutre apparente à plusieurs mètres du sol, entourée de baie vitrée qui donnait une vue dégagée sur les étendues sauvages… putain qu’elle devait être riche cette Léa, cette baraque était vraiment folle !
Je dégoulinais à même le sol, l’air un peu penaud.
- « mais c’est qu’il mouille le sol en plus ! »
Bin j’y pouvais pas grand-chose !
- « Il nettoiera après, pour l’instant il faut le faire sécher »
Léa monta sur la mezzanine pour attacher une poulie autour de la poutre centrale, y fit passer une corde et la jeta au sol.
Pauline en profitait pour échanger la corde qui me restreignait les poignets avec des menottes molletonnées.
Léa commença à me hisser en l’air quand Pauline l’arrêta.
- « Attends attends attends, j’ai une idée ! »
Et elle partit en courant ...