1. La bouchère


    Datte: 09/08/2024, Catégories: fh, fplusag, magasin, ffontaine, caresses, intermast, Oral pénétratio, portrait, Humour occasion, extraconj, Auteur: Leonash, Source: Revebebe

    ... gémissements me prouvèrent que j’étais sur le bon chemin. Ses mains couraient sur sa poitrine, la malaxant et ouvrant les boutons du haut.
    
    Suz sortit à moitié ses mamelles de son balconnet et entreprit de caresser et pincer ses tétons dressés. Je constatai une humidité particulièrement abondante et une respiration de plus en plus jouissive. Sa poitrine se souleva d’un coup dans un spam orgasmique.
    
    — Ah, tu m’as fait partir, mon cochon !
    
    Me tirant par les épaules, elle me mit debout et écarta mon pantalon pour le faire glisser sur mes jambes, suivi par mon caleçon.
    
    — Ah, mon petit cochonnet, à moi de rendre la monnaie !
    — Voilà bien le langage de la caissière, dis-je.
    
    On éclata de rire.
    
    Elle enfourna ma saucisse avec une délectation de bouffeuse, comme si elle avait jeûné des jours. Ne voulant pas céder trop vite, je la pris par les tétons et la fis se mettre debout pour la coucher sur le billot de boucher. La tête sur la partie creuse due à l’usure des coups de hachoir, mettant ainsi sa tête à la hauteur de mon saucisson qu’elle n’avait pas lâché. Elle me reprit en bouche avec voracité.
    
    Ainsi, je pus reprendre mes caresses, d’abord sur sa poitrine, titillant les pointes des seins à les faire se tendre. Puis une de mes mains partit à la recherche de son téton du bas, tout aussi dressé.
    
    — Oh, cochonne, tu en veux encore ?
    — Hum, hum, geignit-elle, tout occupée à me faire reluire.
    
    En lui frottant son bouton, j’entrai délicatement dans le centre des ...
    ... plaisirs. De concert, nous nous installions dans cette montée des sens… Son aspiration m’enveloppait de plus en plus loin, jusqu’à en perdre haleine.
    
    Mes doigts ne mirent pas longtemps à presser son clitoris qui, à peine effleuré, lui fit faire un arc-boutant, puis elle laissa retomber ses fesses lourdement sur le billot. Fort intrigué par cette réaction à la limite de l’exagération, je recommençai plusieurs fois pour obtenir le même résultat, avec chaque fois un temps un peu plus long en l’air et un souffle de plus en plus court et irrégulier. Puis j’en aventurai deux autres dans le « saint doux », entrouvrant avec précaution les lèvres qui brillaient de mille gouttelettes de plaisir, et allai débusquer sa zone encore plus sensible, son point névralgique. Le caressant avec une extrême douceur, je sentis une boule qui grossissait petit à petit. Suz avait de plus en plus de mal à garder le contrôle de la situation, se manifestant par des à-coups sur ma queue et des râles gutturaux.
    
    Mes doigts poursuivirent indubitablement leur jeu de sape, quand tout à coup Suz poussa un cri tout en me broyant la main sous la puissance de ses muscles des cuisses avant de s’ouvrir largement et relâcher un jet puissant qui alla tremper le bout du billot. Elle retomba à la limite de la pâmoison !
    
    Je fus complètement surpris par cet instant, me demandant si je n’avais pas poussé trop loin. Après un long moment de répit et calme, Suz me susurra, dans un moment de conscience :
    
    — Merci, tu ...