La bouchère
Datte: 09/08/2024,
Catégories:
fh,
fplusag,
magasin,
ffontaine,
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
portrait,
Humour
occasion,
extraconj,
Auteur: Leonash, Source: Revebebe
Après mon service militaire fait à l’âge de vingt-trois ans comme sursitaire, je rejoins un copain d’enfance comme commercial dans une entreprise de caisse enregistreuse sur ladite région susnommée.
Au gré de mes visites, je rentre dans une boucherie-charcuterie pour proposer mes services. Tenue par un couple(la cinquantaine), lui occupé au service des clients avec ses assistants et elle à la caisse.
Lui : Marco, le bon boucher, bien de chez nous, bedonnant, rougeaud et truculent, elle : Suzette(Suz pour les intimes), une silhouette aux formes avenantes, un tant soit peu gironde. Je me dis qu’ils avaient l’air bien assortis.
La difficulté : obtenir un rendez-vous pour une démonstration. Après un exposé rapide, lui en accepte le principe et me demande de revenir le lendemain vers midi à la fermeture, pour le déjeuner, car ils ne sont pas ouverts l’après-midi. À table, je leur expliquai l’intérêt de cette acquisition. Lui semblait convaincu ; elle, un peu plus circonspecte. Je me dis qu’il va falloir la travailler au corps !
Pour la démonstration, il me dit :
— Je vous laisse voir cela avec ma femme, car c’est elle qui est à la caisse. Moi, j’ai un rendez-vous avec un paysan pour l’achat de deux génisses.
La démonstration :
Assis chaise contre chaise devant la machine, j’entrepris sa mise en route et commençai mon baratin. Je fus surpris par les fragrances de Suz, un doux mélange de patchouli et de sueur. Sa tenue : une blouse aux genoux, boutonnée de la ...
... poitrine à mi-cuisse, des jambes nues et un décolleté sympa dû à la chaleur de l’été.
De point en point, je tentai de rendre la démonstration attractive. Suz répétait chacune des manipulations après moi. Je lui dis :
— Est-ce clair ?
— Oui, répondit-elle.
Inutile de vous dire que nos corps étaient presque l’un contre l’autre, dans le croisement de nos bras et mains sur le clavier. Ses contacts avaient fini par créer une sorte de – comment dirais-je ? – connivence. Essayant de lui faire du charme, je finis par découvrir qu’elle avait peur de ne pouvoir continuer ses petites manigances. Sur mon insistance, elle me confia « mettre de côté chaque jour sa petite commission ».
— Oh, pas grand-chose : me dit-elle en rougissant.
Elle avait ainsi un petit pécule pour se faire plaisir sans en faire référence à Marco.
— Je vous assure que cela restera entre nous, et je vais vous montrer la manipulation pour la soustraire des résultats du jour, fis-je avec un clin d’œil et un sourire charmeur.
Une détente se manifesta chez elle et la mit à l’aise. Je sentis son genou contre le mien.Tiens, tiens, serait-elle un peu coquine ? pensai-je.
— Continuez, et reprenez le clavier ! insistai-je.
Ma main se posa sur son genou, pas de réaction, mais un regard des plus coquins dans ses yeux. J’entrepris une reptation vers l’intérieur de sa cuisse, son genou ne fit qu’accentuer la pression sur le mien, ouvrant ainsi ses jambes, comme une invitation à continuer. Inutile de dire ...