1. Toi et Moi dans le local désaffecté


    Datte: 17/07/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail grosseins, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral fdanus, hdanus, exercice, Auteur: Eroslibré, Source: Revebebe

    ... ceux en mal de tout. Non, tu décroches, suis le rituel de la présentation et ta voix chaude et grave à la fois qui tout de suite m’attise. Tu es seule, oui. Tu te souviens de ce dossier sur l’environnement durable, ah, tu n’en as pas reçu la copie. Non, tu veux que je te l’apporte. Pas tout de suite, ils me pressurent aujourd’hui, dans quelques jours je serai partie alors ils m’en font voir, je paye ma fuite.
    
    Quelle couleur ? Oh, laisse-moi deviner, si je gagne, je ne sais pas ce que je te demanderai… Je réfléchis brièvement et me décide. Ce matin, je t’ai aperçue descendre du bus toute de marron vêtue avec cette jupe droite qui s’arrête bien au-dessus de tes genoux mais qui est si légère que le bout de mes doigts suffit pour la soulever et la remonter tout en haut de tes cuisses. Tu l’as accordée avec un bustier ajusté plus clair mettant en évidence ta poitrine gorgée d’envie, je la trouve de plus en plus volumineuse. Quel traitement lui fais-tu subir ? Tes seins doivent te faire mal, exercer une pression intolérable sur tes poumons et peser horriblement, je m’imagine affublé de telles protubérances. Et dire que tu ne peux pas les mettre à l’air ! Sauf pour moi peut-être quand nous nous retrouvons dans nos refuges pourtant de moins en moins secrets mais qui pourtant nous autorisent encore toutes les audaces.
    
    Alors ainsi revêtue que portes-tu derrière ces marques de protection qui malgré toute leur féminité me laissent sur ma faim et que je veux découvrir tout d’un ...
    ... seul coup, sans le plaisir indicible de ces brèves échappées, un top qui s’écarte, une jupe qui remonte de façon pas forcément intentionnelle ? C’est bref, c’est tout juste si je peux entrapercevoir quelque chose, la rondeur de tes globes bien durs maintenant. Je serais ravi d’être à la place de ces rayons de soleil qui vont finir par en savoir plus que moi, qui en savent déjà plus que moi. Une tache de tissu apparaît furtivement mais je ne réussis pas à en saisir parfaitement la couleur ou la texture. Est-il transparent, opaque ? Est-ce de la dentelle, du tulle ou un synthétique soyeux ? Est-il bien hermétique, soudé à ta peau, ou très légèrement lâche ?
    
    Impossible de le décrire, de l‘inscrire dans mon esprit. Donc tu es revêtue de toutes les nuances possibles de marron, des pieds à la tête, alors pourquoi ne porterais-tu pas ton ensemble tacheté, imitation Jane, cette fiancée voluptueuse de Tarzan. Il est très échancré et un peu juste, plutôt audacieux et te confère ce petit côté décalé, pas réellement mannequin et encore moins bimbo, un peu comme les « pin-up » de ces publicités sulfureuses et pulpeuses des années 1960, celles qui trônaient dans les cabines des chauffeurs routiers.
    
    Tu ris de l’autre côté du téléphone. Je me suis encore trompé, je ne suis pas très perspicace aujourd’hui, beaucoup trop obsédé par ce que j’ai envie de posséder de toi. Je le connais bien pourtant même s’il est récent, tu me confirmes que j’en ai adoré le toucher. Je réfléchis encore un peu ...
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