Le GPS ne ment pas !
Datte: 07/08/2024,
Catégories:
fh,
extracon,
voisins,
vacances,
piscine,
humilié(e),
vengeance,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
hsodo,
confession,
couple,
Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... lécher, chacune son tour, gourmandes, abandonnant des flots de salive sur le gros bâton, s’embrassant sans pudeur et sans dégoût, les lèvres humides, la bouche ouverte, se caressant l’une l’autre, qui un sein, qui une fente, mais revenant toujours et toujours sur le sexe. Bâton de chair qu’elles tiennent éloigné du ventre, baobab dont le tronc supporte une futaie de chair rose, gland champignon dénudé et gluant de salive.
La preuve est sous mes yeux. La mémoire de la caméra en garde la trace.
Oui, la preuve est là, réelle, présente, obsédante, dérangeante. Pas seulement une baise dans un couple, officiel ou adultère, non, pire, bien pire.
Cette façon qu’a Lise de pousser ma femme pour qu’elle vienne se mettre en 69 sur le mari. Les cris d’Anne dès que l’homme s’attaque à sa fente, ouvrant de ses mains la raie des fesses pour glisser aussitôt un doigt pervers dans le petit trou.
Cette façon qu’a Lise de demander qu’Anne engloutisse le champignon et une bonne partie du tronc.
Ces mains qui appuient sur la tête de mon épouse pour lui faire gagner inexorablement millimètre après millimètre, lui laissant à peine le temps de reprendre son souffle pour en demander encore un peu plus.
Ces gémissements qui, bien qu’étouffés par la grosse bite, me parviennent par le micro de la caméra.
Ce visage, gluant, ruisselant, qui ne donne aucun signe de refus.
Cette bouche déformée par le mandrin, qui cherche l’air et qui crie dès qu’elle peut s’exprimer pour annoncer ...
... aux oreilles de tous que l’homme qui la lèche lui procure un plaisir divin.
Et Lise qui parle. Elle parle pour eux, elle accompagne chaque mouvement, elle traduit chaque soupir.
— Suce-le, oui, suce-le bien. Tu aimes sa grosse queue, hein. Tu sais comme ses belles bourses se remplissent pour toi. Glisse un doigt dans son petit trou. Il va venir. Tu sens que ça monte ?
Et elle a raison. Serge annonce sa venue. Même les cuisses de ma femme ne peuvent retenir ce cri :
— Je viens, je viens !
Et son foutre jaillit. Les lèvres de ma salope d’épouse ne réussissent pas à tout bloquer. Des coulures infâmes s’échappent, tirant des filets blanchâtres qui coulent le long de la hampe. Mais rien n’est perdu. Lise se joint à la gourmande. Deux bouches suffisent à peine à recueillir le torrent, torrent qui cependant se tarit.
La perversité et le vice se sont emparés des femmes. Lise entraîne ma femme sur le chemin de la luxure, mais c’est de son plein gré qu’elle la suit. Sinon comment expliquer que les deux femelles se redressent pour venir s’embrasser ? Un baiser gras, infâme, vicieux, bien plus dérangeant qu’une bouche féminine qui déglutit le foutre de son mari, voire de son amant.
Un dernier cri. Anne jouit. Anne est toujours expansive. Sa jouissance est une ode à l’amour. Si elle se retient pendant nos siestes crapuleuses, ce n’est pas le cas ici. Partout à la ronde, la vie s’arrête. Chacun stoppe son activité pour écouter…
J’en ai assez vu et entendu. J’ai la ...