1. Que sont-ils en train de faire? - 2


    Datte: 06/08/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Sunstone, Source: Hds

    ... nos lèvres ne se séparant que par brefs instants dans la fureur de nos baisers passionnés, gémissants d’un désir à son paroxysme. Elle est la première à me pousser sur le lit, se positionne au-dessus de moi, se pénètre immédiatement de ma verge et commence à onduler énergiquement.
    
    Plus rien n’existe au monde à cet instant, si ce n’est la chaleur, la douceur, la beauté, la grâce de cette merveilleuse femme qui me fait l’amour en me fixant d’un regard sans équivoque. Je me redresse vers elle car sa bouche me manque, nos langues se retrouvent, dansent, s’effleurent, se caressent, s’emmêlent, s’aiment. Je la serre fort contre moi alors que, secoué de spasmes incontrôlables, je me vide finalement en elle dans une saccade de gémissements.
    
    Je crois perdre connaissance un bref instant. Quand je reprends mes esprits, Lisa est allongée sur moi, comme elle l’était quand elle m’a réveillé par surprise il y a quelques heures. Mon visage est enveloppé de la douceur de sa caresse, et elle me regarde avec un sourire de bonheur sincère. Je lui rends son sourire.
    
    Elle s’allonge à mes côtés sans me quitter des yeux.
    
    « Ça va ? », me demande-t-elle, malgré tout inquiète de ma réaction après coup. Je hoche la tête positivement. Je suis bien, en cet instant. Paisible. Nous nous enlaçons quelques instants, un même sourire au lèvres.
    
    J’entends des murmures derrière la porte. Elie et Clément viennent de remonter et se séparent pour aller se coucher dans leurs chambres respectives. ...
    ... J’attends quelques secondes puis me lève et me rhabille à contrecœur, sous l’œil attristé de Lisa. Je n’aurais jamais pensé voir ainsi la femme taquine et mutine qui a fait irruption dans mon lit dans le plus simple appareil à peine trois heures plus tôt. Son expression me fend le cœur. Je me penche alors vers elle et l’embrasse avec tout l’amour du monde.
    
    « Ce n’est pas fini », lui chuchoté-je au creux de l’oreille.
    
    Un dernier baiser, un dernier regard, et je sors de la chambre après les vérifications d’usage. Je passe à la salle de bain, me nettoie à nouveau en quatrième vitesse, tire la chasse pour justifier mon absence de la chambre, et retourne me coucher, auprès d’Elie cette fois. Elle s’est effondrée sur le lit et somnole déjà.
    
    « Tu étais où ? » me demande-t-elle d’une voix endormie.
    
    Je lui réponds que j’étais aux toilettes, sans rien laisser paraître de ce que j’ai vu ni de ce que j’ai fait. La réponse semble la satisfaire, et après un faible « bonne nuit », elle s’endort quasi-instantanément.
    
    Cela me fait un drôle d’effet d’être à ses côtés maintenant. Pas étonnant, cela dit. Nous avons tous deux joui plus fort avec une autre personne cette nuit que nous ne l’avons jamais ensemble. Tout pourrait changer entre nous tous durant la seule journée de demain.
    
    Je me tourne sur le côté pour dormir. Ce n’est plus l’heure de réfléchir à tout cela maintenant. Morphée m’accueille rapidement dans ses bras, et dans mes pensées, elle a l’apparence de mon amante de la ...
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