Si tu vas à rio -- Ch. 04
Datte: 05/08/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... chaque jour des heures, je suis ligoté très serré pour ne pas bouger et la déranger dans son travail. J'ai l'impression que des milliers d'aiguilles me transpercent et je souffre en continu. C'est particulièrement douloureux au niveau du pubis mais aussi au niveau de mes pieds. En deux semaines, tout mon corps y est passé. Je ne réalise pas que je viens de vivre tout un tas d'expérience qui m'ont profondément modifié physiquement et psychologiquement. Je ne pense pas à l'après tant je suis conditionné, mais tout ceci est bien loin de ce que j'avais compris de la part de Pierre.
Le soir je suis jeté dans un cachot qui fait 70 centimètres de haut, est tout noir, sent l'urine. Il y a une gamelle pour boire je ne sais quoi, et une autre pour manger je ne sais quoi. Je ne me fais pas prier, j'avale tout et m'endort épuisé malgré les plugs qui ne me quittent plus. Au moins je peux me laisser aller. Je ne pleure plus. Je prends les choses et les évènements comme ils viennent. Je reste concentré à ne pas faire d'erreur et ne pas déplaire surtout. Je n'ai ni espoir, ni attente, ni perspective, je vis chaque seconde intensément, et oui, je me sens pleinement à ma place. Je ne me suis pas révolté une seule fois depuis mon arrivée, Maîtresse me l'a souvent signifié, me disant que je suis le seul de ses pensionnaires ainsi.
Mes perspectives arrivent en fait très vite sans que je ne fasse rien. Au matin d'une nouvelle et dernière semaine dont l'objectif me paraîtrait terrifiant ...
... si j'avais la possibilité de réfléchir (découverte des punitions) Maîtresse m'apprend que je suis attitré. Ce qui veut dire que j'appartiens à une personne corps et âme dont je serais l'esclave toute ma vie. Il y a trois semaines j'aurais sans doute fait des bonds et renâcler, au moins en pensée, là je trouve cela logique et en fait c'était entendu pour moi que désormais ma vie était dans cette condition. Plus ou moins difficile, mais dans cette condition. Je n'en sais rien de plus, je ne m'interroge pas même sur le pourquoi du comment, le sexe ou le nom de ce futur propriétaire. Dont je vais porter les marques. Celles-ci vont devoir prendre sur la semaine de punition qui sera du coup allégée.
Pour le plus simple, je commence par une après midi de tatouage. Le premier au niveau du cou, est dessiné est collier de chien métallique, avec une médaille devant sur laquelle est inscrit le terme esclave. Ainsi col ouvert, ma condition est évidente. Un petit tatouage dans le coup représente l'haciendas, pour marquer que je suis passé entre les mains de Maîtresse.
Sur la cuisse m'est appliqué un branding avec un couteau porté au rouge. Je tremble de peur, pourtant la douleur vive n'est pas si terrible. La chaleur tuant les nerfs instantanément. La marque est profonde, je devine un cercle et des initiales à l'intérieur, mais sans pouvoir les deviner. Et sans que cela n,e me gêne. Un pansement occlusif est mis dessus et ne sera enlevé qu'en présence de ma propriétaire.
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