1. Si tu vas à rio -- Ch. 04


    Datte: 05/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... érection. Elle note les mesures sur un papier et me laisse là, pendant par les mains avec les bras déjà douloureux. Je repère une énorme horloge sur un mur, qui me permet de voir le temps passer. Je réalise que c'est encore pire que de ne pas savoir combien de temps s'est écoulé. Je vois les minutes qui s'égrènent, tandis que la souffrance dans mes bras devient terrible. Je n'ose appeler, ni même gémir, et les minutes défilent, défilent. Je me mets à compter dans ma tête pour m'occuper, je perds le fil de mes pensées, je sens que je perds pied. J'ai terriblement soif, je n'ai rien bu ni rien mangé depuis hier soir, ce matin je n'avais pas le cœur à cela, j'aurais du y penser. Est-ce que j'ai le droit de demander, je pense que non, mais en même temps j'ai la gorge sèche et j'ai peur de m'évanouir. Aussi je me mets à appeler Maîtresse d'une voix geignarde.
    
    Il lui faut dix minutes pour arriver et je sens tout de suite que je vais le regretter, mais je sais que je n'en peux déjà plus. D'une voix glaciale cette fois-ci, elle m'apprend que je n'ai pas le droit de parler sans y avoir été autorisé formellement. Que tout manquement à une règle est sévèrement puni, même si la règle n'a jamais été énoncée, à moi de me comporter instinctivement comme il faut. J'ai trop envie de pleurer, je me sens tout seul abandonné. Et je ne peux rien faire. Ma première punition sera clémente m'apprend-elle. Je vais recevoir 20 coups de fouet de dressage. Elle me montre l'instrument, une longue ...
    ... tige rigide comme une cravache d'un mètre environ, prolongée par une mèche de la même longueur et un poids pour s'assurer de la portée de l'engin. Je voudrais supplier mais je m'arrête à temps certain que ma punition serait alors aggravée. La lanière fait le tour de mon corps et vient frapper ma poitrine à toute volée. Je ne peux me retenir et hurle de souffrance. Je comprends que la canne d'hier n'était qu'une plaisanterie par rapport à cet instrument. Je regrette amèrement, je ne sais pas ce que je regrette, mais je tremble de terreur pour les 19 autres coups qui m'attendent. Mes hurlements ne cessent pas, j'ai déjà la voix cassée, Maîtresse tourne autour de moi comme une proie, lacère mon ventre si sensible, mes fesses, mon dos, je sens du sang s'écouler de mes blessures. Je comprends comme jamais que je ne dois plus rien faire qui lui déplaise, je dois être totalement obéissant, c'est terrible, je pends par mes mains, incapable de me soutenir. Elle me rappelle de sa voix neutre qu'il s'agissait d'une punition clémente, que je réalise dans quelle situation je suis.
    
    Montant sur un petit escabeau pour venir à ma hauteur, Elle m'enserre le cou dans un très large collier avec une découpe ergonomique. Ma tête est bloquée en position haute, je ne peux plus la bouger. Elle serre fort et je panique un peu, je sens le sang cogner à ma tête, mais j'arrive à garder l'esprit alerte. Elle prend ensuite une cagoule en cuir qu'elle enfile sur ma tête. Passant par derrière, Elle tire les ...
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