1. La Milonga


    Datte: 04/08/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Patou bcbg mature, Source: Hds

    ... passée sous la table, essayant de résister et de limiter la pression de la masturbation que mon professeur de tango me faisait subir. Je sentais un désir, une envie, un besoin d'orgasme et de jouissance m’envahir une fois de plus. Mes yeux se révulsaient dans une réaction mécanique de pertes de contrôle totale. Mon corps m'abandonnait, laissant à mon violeur, un accès direct à mes désirs, fantasmes et besoins sexuels. Cette brute me faisait jouir, en public sous la table devant mes partenaires de danse, et je sentais qu’il en éprouvait une fierté incomparable. De manière vicieuse, il avait capturé la bourgeoise bien mise qui avait franchi la porte de son club de danse 2 mois plus tôt, sans avoir même besoin de me posséder. Ses jeux masturbatoires étaient d’une violence psychologique inouïe. Il ne prenait son plaisir que par les orgasmes en rafale qu’il me procurait, sans même avoir besoin de me baiser ou de se vider sur mon corps de bourgeoise qu’il avait capturé. Une fois de plus, j'avais rencontré un mâle dominant qui allait me posséder sans se préoccuper des conséquences.
    
    - Regarde mon ami, il t’observe, il te veut comme élève...
    
    - Ohhhhhh, Matias, arrêtez, s’il vous plaît, je n’en peux plus... Allons dans ma chambre, je serais à vous...
    
    - No, Puta, tu es mon élève, je vais avant t’éduquer !!!!
    
    Le dîner se poursuivit pendant plus d’une heure, ou je continuais à subir la pression des caresses de Matias provoquant des orgasmes à répétitions avant de rejoindre ...
    ... le bar pour un dernier verre. Roberto, qui était une référence du Tango en Belgique comme chorégraphe et danseur, se joignit à nous. Il avait parcouru le monde en dansant avec les plus grands et produit beaucoup de spectacle, et ce, perfectionniste d’une soixante d’année avait un style naturel d'Amérique du sud plein de charme et de sensualité. J’étais donc coincée entre ces deux latins qui sous le couvert de leur art, me tenaient par les hanches de façon plus que subjective.
    
    Je sentais leurs mains dans mon dos sur mes hanches rivalisant de désir, malaxant les parties de mon corps les plus plantureuses, et cela, devant mes camarades de danse. Alors que Mathias me caressait le dos de sa main-forte, celle de Roberto était descendue sur ma croupe qu'il palpait avec délectation, camouflée et protégée par le bar sur lequel j'étais appuyée. Mathias continuait à me susurrer à l'oreille des propos indécents, au travers desquels je pouvais sentir l'envie et le désir de me posséder. J‘étais leur objet, un vulgaire jouet innocent, qu’ils avaient capturé et je savais que je ne pouvais m'y soustraire. Après plusieurs verres, Matias, nous proposa de regagner nos chambres pour un repos bien mérité. Le groupe se sépara et alors que j'essayais de me joindre à mes camarades pour rejoindre ma chambre, Roberto, m’attrapa par le bras pour m’entraîner vers l'ascenseur sous l’escorte de Matias. Me tenant fermement par le bras, il attendit le dernier ascenseur pour m'entraîner dans cet espace ...
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