TERRAIN VAGUE
Datte: 01/08/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Nemlod, Source: Hds
... donc quasiment seuls dans le quartier.
J’empruntai le chemin sur une cinquante de mètres puis je partis vers la droite, évitant les broussailles à la faveur d’une clarté blafarde. J’entendais, derrière moi, des petits craquements. Il me suivait toujours. Sans me retourner, je marchais sans hâte vers la zone la moins éclairée du terrain. Lorsque je l’eus atteinte, je m’arrêtai. Il s’arrêta de marcher, lui aussi. Il s’était approché. Je sentais sa présence à moins de deux mètres derrière moi.
Nous sommes restés tous les deux quelques secondes, sans bouger, sans dire un mot. Je me demandais ce qui se passait dans sa tête. S’il m’avait suivi jusque là, c’est qu’il avait une idée bien précise. Et moi ? Je bandais. Et je souhaitais sentir son sexe me pénétrer. Je ne pensais qu’à son sexe, sans doute dressé comme le mien. Mon envie était physique, presque animale. Je ne souhaitais pas voir son visage, ni lier connaissance. Nous devions rester deux inconnus l’un pour l’autre.
J’étais vêtu d’une chemise légère et d’un pantalon de toile, sans slip. Sans précipitation, je défis ma ceinture. L’envie montait en moi, irrésistible. Les battements de mon cœur s’accéléraient. Je salivais. J’avais en bouche le goût indéfinissable mais caractéristique de la soif intense d’un contact sexuel. Je laissai tomber mon pantalon sur mes chevilles. Dans la pénombre, il devina mon geste et mon attitude, car il s’approcha. J’entendis qu’il ouvrait son pantalon. Il vint se coller à moi et je ...
... sentis son sexe dur posé sur mes fesses. Il passa un bras autour de moi et saisit mon pénis qu’il se mit à serrer et caresser. J’étais déjà au bord de l’explosion et je me concentrais au maximum pour tâcher de la retarder le plus possible. Avant toute chose, je voulais le sentir en moi. Je me penchai en avant et passai les mains derrière mon dos. Je m’écartai les fesses, pour rendre mon anus bien accessible. Il comprit mon geste et posa un doigt sur l’ouverture. Il l’enfonça doucement. Je n’en pouvais plus. J’étais prêt à craquer. C’était trop tôt. Je lui dis dans un souffle « non, attends… ». Il arrêta le mouvement de sa main qui empoignait mon sexe tressaillant. Je repris pied. De ma main droite, je lui saisis le sexe. D’après sa respiration, il devait être dans le même état d’excitation mentale que moi. Son sexe en érection était gros et long. Je le guidai et plaçai son gland exactement sur mon anus, en lui murmurant « vas-y ». J’attendais fébrilement ce moment. Alors il m’enserra de ses deux bras. Je m’inclinai un peu plus et je laissai sa queue pousser sur l’orifice. Je la sentis forcer mon anus, puis entrer, doucement, de plus en plus profond. La dilatation de mon anus m’amena au seuil de la douleur. Je sentis, au fond de moi, son gland comprimer et étirer mes organes. Nous restâmes sans bouger quelques secondes. La douleur s’apaisa. Je contractai les muscles de mon orifice pour l’enserrer plus fort encore. Il gémit de plaisir. Puis il se mit à aller et venir, lentement. Je ...