1. Monsieur Attilio


    Datte: 01/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byANDRERP95, Source: Literotica

    ... t'écartes bien les fesses que je vois ton trou....
    
    J'ai fait glisser mon boxer le long de mes hanches puis j'ai écarté mes fesses. Je lui dévoilais mon intimité, mon sillon, et mon trou du cul. J'attendais sans bouger.
    
    Une brusque brûlure dans mon anus. Cela dure à peine quelques secondes.
    
    - Faut que tu apprends à être propre par là gamin....
    
    J'ai rougi de honte. Il venait de me planter un doigt dans le cul.
    
    - Maintenant tu te mets à quatre pattes....
    
    M. Attilio s'est levé et a posé une de ses chaussures sur mon dos. Elle pesait très lourd. Il aurait pu m'écraser. La semelle me faisait mal. Puis il m'a donné un coup de pieds aux fesses.
    
    - Allez tu marches à quatre pattes jusqu'à ta chambre...
    
    M. Attilio me suivait en riant et en me donnant des petits coup de pieds. J'avançais lentement. C'est pas facile de marcher à quatre pattes. Je savais bien que mon derrière se dandinait au rythme de mon avancée. Mon slip était coincé au niveau des genoux ce qui ne facilitait pas ma progression.
    
    - C'est bien.... Avance.... T'es une bonne chienne..... Les jeunes chiens comme toi, il faut leur apprendre tout de suite à obéir.
    
    Dans ma chambre, M. Attilio m'a carrément porté pour me jeter sur le lit. Puis il m'a arraché le slip en le déchirant. Mon lit grinçait sous son poids. Il n'a pas enlevé ses chaussures. Il m'a retourné à plat ventre et s'est mis à genoux entre mes jambes ouvertes.
    
    J'avais très peur de la suite et je criais dans mon bâillon. Je le ...
    ... suppliais. Je tournais ma tête dans tous les sens. Je battais des bras et des jambes.
    
    Sa grosse main m'a écrasé le visage contre le matelas. J'avais un mal de chien à respirer. Je ne voulais pas . Je devinais la suite et je ne voulais pas.
    
    Il m'a tiré les cheveux vers l'arrière m'obligeant à lever mon visage et à le tourner vers lui à la limite du supportable. Il a vu mes yeux fous et mes larmes de dépit et de peur. Ses tous petits yeux brillaient de haine. Il ricanait. - J'adore dompter les petites chiennes de ton espèce....
    
    Il a lâché ma tête pour s'abattre de tout son poids sur mon corps. Son gros ventre écrasait mes reins. Ses jambes lourdes ouvraient les miennes. Je criais de plus en plus fort. J'arrivais pas à me débarrasser du bâillon. Il a réussi à ouvrir son pantalon. Quand j'ai senti son sexe contre ma raie. J'ai failli m'évanouir. Ses grosses cuisses poilues frottaient contre les miennes.
    
    - Aujourd'hui je vais être sympa avec toi.... C'est moi qui fournit la crème....
    
    M. Attilio m'a bloqué la nuque d'une main tandis que les doigts de l'autre me badigeonnaient la raie d'une crème froide et glissante. J'avais beau me débattre, je n'ai pas échappé au doigt qui a perforé mon anus pour bien lubrifier mon sphincter. J'étais complètement impuissant sous une telle masse de muscle.
    
    - Allez ma poupée.... Le grand jour est arrivé pour toi....
    
    M. Attilio à positionné son gland contre mon anus. Puis il m'a étranglé des deux mains pour que je ne bouge plus. Avec ...
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